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28 juin 2014 6 28 /06 /juin /2014 23:00
Composition évèque.svg
Jean-Yves Riocreux
Blason de Jean-Yves Riocreux
« Avance au large ! »
Portrait de Jean-Yves Riocreux

Mgr Jean-Yves Riocreux en 2009
né le 24 février 1946 à Marlhes

  évêque de Pontoise depuis 2003.

Il est décoré de l'Ordre de la Légion d'Honneur pour ses efforts au développement du dialogue interreligieux.

Biographie 

Études 

Après des études forestières à Meymac (Corrèze), puis à Saint Germain en Laye, Jean-Yves Riocreux est entré au séminaire. Il a fait son premier cycle au séminaire Saint-Sulpice à Issy-les-Moulineaux avant de poursuivre sa formation à Baltimore (États-Unis) au Saint Mary's Seminary and University, obtenant une maîtrise de théologie.

Principaux ministères

Il a été ordonné prêtre le 22 juin 1974 pour le diocèse de Nouméa, qu'il a connu comme coopérant. Il a commencé son ministère sacerdotal en Nouvelle-Calédonie. Il a en particulier été curé de la cathédrale Saint-Joseph de Nouméa de 1979 à 1986.

Il est ensuite venu à Paris, où il a été aumônier des étudiants de l'Institut catholique de Paris de 1987 à 1992 avant d'être curé-doyen de la paroisse Saint-Ferdinand des Ternes et Sainte-Thérèse de l'Enfant-Jésus de 1992 à 2001, puis recteur de la cathédrale Notre-Dame de Paris jusqu'en 2003. Il a également été responsable du catéchuménat du diocèse de Paris de 1997 à 2002.

Nommé évêque de Pontoise le 5 mai 2003, il a été consacré le 29 juin 2003 par l'archevêque de Paris, le cardinal Jean-Marie Lustiger, assisté de Mgr Michel-Marie Calvet, archevêque de Nouméa et de Mgr René-Marie Ehuzu, évêque de Porto Novo (Benin).

Au sein de la Conférence des évêques de France, il est membre du Conseil pour les relations interreligieuses et les nouveaux courants religieux.

Prises de position 

Par rapport à la guerre en Irak 

A plusieurs reprises, Mgr Jean-Yves Riocreux a dénoncé les persécutions dont sont victimes les chrétiens d'Irak, les Chaldéens, qui auraient pour but d'accélérer l'exode de cette population. Son diocèse de Pontoise et celui de Saint-Denis accueillent déjà 1350 familles chaldéennes[1].

Violences à Villiers-le-Bel 

Quelques semaines après les émeutes urbaines qui ont secouées cette commune, Mgr Jean-Yves Riocreux est allé célébrer la messe de Noël dans cette commune en s'écriant "Paix à nos quartiers, paix à nos familles, paix au monde"[2].

Dialogue interreligieux 

Lorsque le président Jacques Chirac lui a remis les insignes de chevalier de la Légion d'honneur, le 1er mai 2007, quelques jours à peine avant de quitter l'Élysée, il a rendu honneur à l'évêque qui anime avec conviction le dialogue interreligieux[3]"


La vie des diocèses - Diffusé le 12/06/2009 / Durée :26 mn

Mgr Jean-Yves Riocreux est à la tête du diocèse de Pontoise depuis 2003. Un diocèse situé aux portes de Paris, qui offre trois visages : une zone rurale plus connue sous le nom de Vexin, une zone résidentielle dans la vallée de Montmorency, qui contraste avec les villes de l'est du diocèse, Sarcelles ou Garges-lès-Gonesse, qui sont plus enclines à la précarité. Mgr Jean-Yves Riocreux nous fait découvrir le Val d'Oise et sa charge de pasteur dans ce diocèse aux multiples facettes.

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28 juin 2014 6 28 /06 /juin /2014 23:00

Créés le 29 juin 1977 

  • Mgr Joseph Ratzinger (futur pape Benoît XVI élu en 2005) (1927- ), archevêque de Munich
  • Officialisation publique d'une création in pectore antérieure :
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28 juin 2014 6 28 /06 /juin /2014 23:00

Créés le 29 juin 1967 

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27 juin 2014 5 27 /06 /juin /2014 23:00

Blason
« Rooted and grounded in Love »
« Enraciné et fondé dans l'Amour »

Simon Ignatius Cardinal Pimenta
 Simon Ignatius Pimenta

né le 1er mars 1920 à Marol en Inde
mort à Mumbai (anciennement Bombay) le 19 juillet 2013
cardinal indien
archevêque de Bombay de 1978 à 1996.
 



Biographie 

Prêtre 

Après avoir obtenu une licence en pédagogie et en mathématique, Simon Ignatius Pimenta est entré au séminaire diocésain et a été ordonné prêtre le 21 décembre 1949 pour le diocèse de Bombay.

 

En 1954, il a obtenu un doctorat en droit canon à l'Université pontificale Urbaniana à Rome.

 

De retour dans son diocèse il a assumé diverses fonctions : prêtre en paroisse, secrétaire de l'archevêque, vice-chancelier, professeur de liturgie, vicaire épiscopal et recteur du grand séminaire.

Nommé évêque auxiliaire de Bombay le 5 juin 1971, il est consacré le 29 juin suivant par le cardinal Valerian Gracias.

 

Le 26 février 1977, il est nommé archevêque coadjuteur de ce même diocèse et en devient l'archevêque titulaire le 11 septembre 1978.

 

Il se retire pour raison d'âge le 8 novembre 1996, remplacé par le cardinal Ivan Dias.

 

Il préside la conférence épiscopale indienne jusqu'en 1988.

Berretta cardinalizia.png

 
Il est créé cardinal par le pape Jean-Paul II lors du consistoire du 28 juin 1988 avec le titre de cardinal-prêtre de S. Maria “Regina Mundi” a Torre Spaccata.

 

Il ne participe pas aux conclaves de 2005 et 2013 ayant dépassé les 80 ans.

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27 juin 2014 5 27 /06 /juin /2014 23:00
François Pisani

en italien Francesco Pisani

 

né vers 1474 (probablement à Venise)

 

mort à Rome le 28 juin 1570

 

cardinal italien

Biographie 

Fils d'Aloïsius Pisani, procurateur de Saint-Marc à Venise

 

Berretta cardinalizia.png créé cardinal en 1517 par le pape Léon X, puis élu évêque de Padoue en 1524[1], et de Trévise en 1528.

 

De 1535 à 1561, il fut abbé commendataire de Prémontré.

 

Il fut aussi à partir des années 1540, archevêque de l'Égée, mais il ne se rendit jamais sur Naxos[2]

 

Jules II le nomma à l'archevêché de Narbonne le 3 mai 1551.

 

Sa situation sur ce siège fut quelque peu équivoque, car il laissa le tiers des revenus du diocèse, ainsi que la présentation aux bénéfices à son prédécesseur, le cardinal de Tournon.

 

Le pouvoir réel fut exercé par le vicaire général de François Pisani, Alexandre Zerbinati, professeur de droit et protonotaire du Saint-Siège, qualifié d'administrateur perpétuel ou commendataire, qui conféra aussi les bénéfices au nom du cardinal de Tournon.

 

Il est probable que le cardinal Pisani ne vint jamais dans sa métropole[3]

 

De 1553 à 1555, il se fait construire une villa à Montagnana (Vénétie) sur les plans d'André Palladio[4]

 

Cardinal-évêque d'Albano de 1555 à 1557, puis de Frascati de 1557 à 1562, de Porto-Sainte-Rufine de 1562 à 1564, et enfin, comme doyen du Sacré Collège de 1564 à 1570, d'Ostie, François Pisani se démit de l'archevêché de Narbonne en 1563, et de l'évêché de Trévise en 1564.

 

Il mourut à Rome en 1570, âgé de quatre-vingt-seize ans, et fut inhumé à Saint-Marc de Venise.

Bibliographie 

  • Devic C., Vaissète J., Histoire générale de Languedoc, tome IV, Toulouse, Privat, 1876.
  • Valvekens E., Le cardinal François Pisani, abbé commendataire de Prémontré (25 avril 1535 - oct. 1561), Tongerloo, 1941. Extrait de "Analecta Praemonstratensia", tome 17, pp.65-163, 1941.
  1. Et non de Pavie comme l'indique à tort l'Histoire générale de Languedoc.
  2. (en) Charles A. Frazee, The Island Princes of Greece. The Dukes of the Archipelago., Adolf M. Hakkert, Amsterdam, 1988, p. 86 (ISBN 9025609481) Voir aussi Giovanni IV Crispo.
  3. En 1572, le gouverneur Fourquevaux écrit à propos de Narbonne : "Il y a 57 ans que son archevêque ne s'y est pas fait voir". Michaud J., Cabanis A., Histoire de Narbonne, Privat, Toulouse, p.207.
  4. Aujourd'hui classée au Patrimoine mondial de l'UNESCO avec la ville de Vicence et d'autres villas de Palladio.
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27 juin 2014 5 27 /06 /juin /2014 23:00

Saint Paul Ier

Immagine di papa Paolo I

né à Rome vers l'an 700

 

pape du 9 mai 757 au 28 juin 767.

 

Il succède à son frère le pape Étienne II (III)

 

Il continue la politique de son frère.

 

Le souffle iconoclaste, entre-temps, s'est réveillé avec Basileus Constantin V, provoquant la fuite de nombreux moines grecs à Rome.

 

Geste d'amitié à l'égard des Francs: Paul Ier fait transférer au Vatican les restes de Sainte Pétronille qu'ils vénèrent.

 

Il accepte en outre, d'être le parrain de Gisèle, la fille de Pépin le Bref.

 

Paul Ier meurt le 28 juin 767.

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27 juin 2014 5 27 /06 /juin /2014 23:00
le 28 juin 1991 
  • Officialisation publique d'une création in pectore antérieure :
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26 juin 2014 4 26 /06 /juin /2014 23:06
Archevêques de Naples (Napoli)
Michele Zezza

(Naples, 7 avril 1850 - 26 juin 1927)
Evêque titulaire de Calidone, suffragant de Naples (1891)
 puis Evêque de Pozzuoli (1893)
puis Archevêque titulaire d'Ancyre, coadjuteur de Naples (1919)
puis Archevêque de Naples (1923)
puis Patriarche titulaire de Constantinople (1923)
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26 juin 2014 4 26 /06 /juin /2014 23:00

archeveque

Denys Auguste Affre

 

né à Saint-Rome-de-Tarn (Aveyron), le 27 septembre 1793

 

mort à Paris, le 27 juin 1848

 

inhumé à Notre-Dame de Paris, son cœur est à St Joseph des Carmes.

 

126e archevêque de Paris.

 

 

Entré à quatorze ans au séminaire de Saint-Sulpice (alors sous la direction de son oncle Denis Boyer), il acheva brillamment ses études et fut quelque temps professeur de philosophie au séminaire de Nantes.

 

Ordonné prêtre le 16 mai 1818, il rejoignit les sulpiciens, puis fut successivement vicaire général des diocèses de Luçon et d'Amiens, et évêque coadjuteur de Strasbourg en 1839.

 

Il ne remplit jamais cette dernière fonction, ayant été appelé entre-temps comme vicaire capitulaire de Paris (conjointement avec MM. Foret et Morille), à la mort de l’archevêque Hyacinthe-Louis de Quélen.

 

Le 6 août 1840 à Notre-Dame de Paris, il fut sacré archevêque.

 

Dans l’exercice de cette charge, Denys Affre se signala par une attention passionnée pour l'amélioration des études ecclésiastiques et pour la liberté de l'enseignement.

 

On lui doit la création de l'école des Carmes et de l'école de théologie de la Sorbonne (fermée sur ordre de Jules Ferry en 1885)

 

Soucieux de l'évangélisation du prolétariat, il ouvrit de nombreuses paroisses ouvrières, comme celles de Ménilmontant, Plaisance, Petit-Montrouge, Maison-Blanche, Petit-Gentilly, Notre-Dame de la Gare, Billancourt, Gros-Caillou ou encore Sainte-Clotilde.

 

Pendant les insurrections de juin 1848, il crut que sa présence près des barricades pût être un moyen de ramener la paix.

 

Il en fit part au général Louis Eugène Cavaignac, qui le mit en garde contre les dangers qu’il courrait. « Ma vie, répondit-il, a peu de valeur, je la risquerai volontiers »

 

Le 25 juin, les tirs ayant cessé à sa demande, il apparut sur la barricade à l'entrée du Faubourg Saint-Antoine, accompagné par M. Albert, de la Garde Nationale, habillé comme un ouvrier et arborant une branche verte en signe de paix, et par Pierre Sellier, un domestique qui lui était dévoué (des sources parlent aussi de ses deux vicaires généraux). Il fut accueilli dans la stupeur, mais à peine eut-il prononcé quelques mots qu'un coup de feu (par accident ?) partit des lignes de la Garde nationale et relança les hostilités.

 

L'archevêque fut touché par une balle perdue (sans qu'on ne sache avec certitude, aujourd'hui encore, de quel côté celle-ci provenait). On l'amena au presbytère de Saint-Antoine, et il fut ramené le lendemain au palais épiscopal, où il mourut le 27 juin, vers 4h30 du matin[1]. Ses dernières paroles furent une citation de l'Evangile de Jean suivie d'un appel à la paix : « Le bon pasteur donne sa vie pour ses brebis, que mon sang soit le dernier versé »[2]. Le lendemain l'Assemblée nationale vota l'hommage suivant : « L'Assemblée nationale regarde comme un devoir de proclamer sa religieuse reconnaissance et sa profonde douleur pour le dévouement et la mort saintement héroïque de Monseigneur l'archevêque de Paris. »


Les obsèques officielles, le 7 juillet, furent un spectacle émouvant. Certaines biographies parlent de 200 000 personnes qui suivaient le cortège. Le cœur de l'archevêque fut placé dans une urne pour être gardé dans la chapelle des Carmes.

 

Denys Affre a écrit, en plus de ses instructions pastorales et de divers articles dans La France Chrétienne, un Traité de l'administration temporelle des paroisses (Paris, 1827), un Traité de la propriété des biens ecclésiastiques (Paris, 1837), une Introduction philosophique à l'étude du Christianisme (Paris, 5e édition 1846).

Bibliographie 

  • L. Alazard, Denis-Auguste Affre, 1905
  • Fernand de Barrau, Mgr Affre, archevêque de Paris (1793-1848), 1909
  • Jean-Alexis Belliol, La mort de l'archevêque de Paris Denis-Auguste Affre : poème, A. Leclère et G. A Dentu, 1849
  • Émile Blanchet, Mgr Affre et son temps, Bonne Presse, 1948
  • Jean Collot, L'Archevêque des barricades : Monseigneur Affre (1793-1848), Le Chevron d'or, 1948
  • Patrice-François-Marie Cruice, Vie de Denis-Auguste Affre, archevêque de Paris, Périsse frères, 1849
  • Roger Limouzin-Lamothe, Mgr Denys-Auguste Affre : archevêque de Paris : 1793-1848, J. Vrin, 1971
  • Anne Bernet, La Vie cachée de Catherine Labouré, Paris, Perrin, 2001.
  1. L'historienne française Anne Bernet, dans sa biographie consacrée à Catherine Labouré (La Vie Cachée de Catherine Labouré, Paris, Perrin, 2001, p. 215), livre un récit minutieux et érudit de cette scène tragique : « Dans la journée du 25 juin, Frédéric Ozanam, incapable de supporter plus longtemps ce massacre fratricide, se précipite à l'archevêché, et supplie Mgr Affre, unique autorité morale unanimement respectée de la capitale d'intervenir. Bouleversé au récit que lui fait le fondateur de la Société Saint-Vincent-de-Paul, le prélat accepte de jouer les médiateurs, de tenter de négocier une trêve, ne serait-ce qu'afin de sauver quelques vies. Il se fait conduire place de la Bastille, s'avance vers la barricade qui ferme l'entrée du faubourg Saint-Antoine. En voyant surgir sous la mitraille l'archevêque en robe violette, croix d'or en sautoir, les belligérants, pareillement stupéfaits, cessent le feu. Mgr Affre marche vers les émeutiers, les mains tendues en un geste paternel. On lui ouvre le passage, on l'aide à escalader le tas d'objets hétéroclites, on l'acclame. C'est alors que la troupe s'en mêle. S'est-elle imaginé que le prélat était en danger ? A-t-elle pensé l'occasion trop belle d'enfoncer la défense adverse un instant désarmée ? Des mobiles chargent les émeutiers, qui ripostent. Soudain pris entre deux feux, Mgr Affre s'écroule, mortellement blessé. Il succombera trente-six heures plus tard. L'on ne peut imputer aux ouvriers du faubourg la mort tragique du prélat... Il n'empêche. Le drame vient de réveiller d'un coup toutes les anciennes terreurs. »
  2. http://www.lagouttedor.net/pages/rues/affre/index.php [archive]

 

Précédé par Denys Affre Suivi par
Hyacinthe-Louis de Quélen
Archevêque de Paris
Marie Dominique Auguste Sibour
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26 juin 2014 4 26 /06 /juin /2014 23:00

Créés le 27 juin 1843

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