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7 mars 2015 6 07 /03 /mars /2015 00:00

Blason de Julio Terrazas Sandoval

Julio Terrazas Sandoval
http://3.bp.blogspot.com/_LvP4mWx84Tk/STkTwwK49TI/AAAAAAAAQVU/fta_Q_4Ihjw/s400/untitledd.bmp

né le 7 mars 1936 à Vallegrande en Bolivie

 cardinal bolivien, rédemptoriste et archevêque de Santa Cruz de la Sierra depuis 1991.

Biographie 

Prêtre 

Après des études en pastorale sociale en France, Julio Terrazas Sandoval est ordonné prêtre le 29 juillet 1962 pour la congrégation des rédemptoristes.

 

Il a exercé son ministère sacerdotal en Bolivie où il a été supérieur de la communauté des rédemptoristes de Vallegrande.

Nommé évêque auxiliaire de La Paz en Bolivie le 15 avril 1978, il a été consacré le 8 juin suivant par le cardinal José Maurer.


Le 9 janvier 1982, il est nommé à la tête du diocèse d'Oruro avant de devenir archevêque de Santa Cruz de la Sierra le 14 avril 1991.


Il a présidé la Conférence des évêques boliviens de 1985 à 1991.

Berretta cardinalizia.png

Jean-Paul II le crée cardinal lors du consistoire du 21 février 2001 avec le titre de cardinal-prêtre de S. Giovanni Battista de’ Rossi rattaché à l'église San Giovanni Battista de Rossi dans le quartier de l'Appio Latino à Rome.

 

Au sein de la curie romaine, il est membre du Conseil pontifical pour les laïcs et de la Commission pontificale pour l'Amérique latine.




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7 mars 2015 6 07 /03 /mars /2015 00:00

Composition évèque.svg

Blason de Claude Feidt
Claude Feidt
http://www.eglise.catholique.fr/img/1-1649-150x9999-0/mgr-feidt.jpg

né le 7 mars 1936 à Audun-le-Roman en Meurthe-et-Moselle

 évêque français, archevêque d'Aix-en-Provence et Arles depuis 1999.

Biographie 

Formation 

Fils de Maurice Feidt, fonctionnaire, et de Geneviève Niez. Élève au lycée du Puy, puis à la Faculté catholique de Lyon, il est licencié en théologie.

 

Il est ordonné prêtre le 24 décembre 1961 pour le diocèse du Puy.

Principaux ministères 

De 1963 à 1972, il a été aumônier de lycée au Puy ; il est professeur de théologie au Grand Séminaire du Puy de 1966 à 1980, et vicaire épiscopal de 1972 à 1980.

 

Nommé évêque auxiliaire de Chambéry, le 10 juillet 1980, il est consacré le 13 septembre 1980.

 

Il devient archevêque coadjuteur de Chambéry en 1985, archevêque de Chambéry, Maurienne et Tarentaise de 1985 à 1999, et enfin archevêque d'Aix-en-Provence, Arles et Embrun en 1999.

 

Le 20 mai 2008, le pape lui donne un archevêque coadjuteur en la personne de Christophe Dufour, jusqu'alors évêque de Limoges.

 

Au sein de la Conférence des évêques de France, Mgr Claude Feidt a été président de la Commission internationale francophone pour les traductions et la liturgie.

Prise de positions 

Procès de béatification de Jean-Paul II 

En mars 2007, Mgr Claude Feidt a rendu public le témoignage d'une religieuse de la congrégation des Petites Soeurs de maternités catholiques qui aurait été guérie miraculeusement de la maladie de Parkinson par l'intercession de Jean-Paul II alors qu'elle travaillait à la maternité de Puyricard.

 

Après avoir été instruits au niveau diocésain, les différents éléments ont été envoyés à Rome à la Congrégation pour les causes des saints[1],[2].



Précédé par Claude Feidt Suivi par
Louis-Marie Billé
archevêques d'Aix
-


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7 mars 2015 6 07 /03 /mars /2015 00:00

Composition évèque.svg

Blason de Guy Herbulot
« Préparez les chemins du Seigneur »
(Jn 1, 23)
Portrait de Guy Herbulot

 Guy Herbulot

Chevalier de la Légion d'honneur

né à Saint-Menges dans les Ardennes le 7 mars 1925

 évêque français, évêque émérite d'Evry Corbeil-Essonnes.

Biographie 

Formation 

Guy Herbulot a suivi toute sa formation en vue de la prêtrise au Grand séminaire de Reims.

Principaux ministères 

Ordonné prêtre le 29 juin 1950 pour le diocèse de Reims, il a exercé divers ministère : vicaire à Torcy-Sedan, professeur au petit séminaire de Reims, vicaire épiscopal chargé du laïcat,...

 

En 1972, il est nommé vicaire général de Reims. Nommé évêque auxiliaire du diocèse de Reims en résidence à Charleville-Mézières le 20 juin 1974, il est consacré le 8 septembre suivant à Reims. Le 12 mai 1978, il est nommé évêque de Corbeil-Essonnes, diocèse qui se nomme diocèse d'Évry-Corbeil-Essonnes depuis 1989. Il s'est retiré pour raison d'âge le 15 avril 2000.

Anecdotes 

Cathédrale d'Évry 

Second évêque du diocèse de Corbeil-Essonnes, Mgr Herbulot a pris l'initiative en 1988 de faire édifier la cathédrale de la Résurrection Saint Corbinien d'Évry. La construction, qui se déroula de 1992 à 1995, a été confiée à l'architecte suisse Mario Botta.

Bibliographie 

  • L'espérance au risque d'un diocèse : Entretiens avec Jean-François Courtille et Gérald M. Omnès (2003)
  • Le Ministère des évêques au concile Vatican II et depuis : Hommage à Mgr Guy Herbulot par Hervé Legrand et Christoph Theobald (2001)
Précédé par Guy Herbulot Suivi par
Albert Malbois
Évêque d'Évry-Corbeil-Essonnes
Michel Dubost
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7 mars 2015 6 07 /03 /mars /2015 00:00
Blason de Umberto Betti
Umberto Betti
http://www.vatican.va/news_services/or/or_quo/077q07a1.jpg

 né le 7 mars 1922 à Pieve Santo Stefano dans la province d'Arezzo, en Toscane, en Italie

mort le 1er avril 2009[1]

 cardinal italien, franciscain et recteur émérite de l'Université pontificale du Latran à Rome.

Biographie 

Études 

Umberto Betti est entré chez les franciscains (Ordre des frères mineurs) où il prononce ses vœux perpétuels le 31 décembre 1943. Il fait des études à l'Université pontificale Antonienne où il obtient un doctorat en théologie.

Prêtre

Il a été ordonné prêtre le 5 avril 1946.

Il exerce l'essentiel de son ministère dans l'enseignement, comme professeur de théologie dogmatique en Toscane, à Sienne et à Fiesole, puis, après une année de spécialisation à l'Université catholique de Louvain, à l'Université pontificale Antonienne. Au sein de cette dernière université, il devient doyen de la faculté de théologie de 1966 à 1969, puis recteur de 1975 à 1978. Il devient ensuite recteur de l'Université pontificale du Latran de 1991 à 1995.

Au cours du concile Vatican II, il est consulteur de la Commission théologique préparatoire en 1961, puis expert au concile en 1963.

Au sein de la curie romaine, il a occupé diverses responsabilités comme consulteur à la Congrégation du Saint Office, à la Congrégation pour la doctrine de la foi, à la Secrétairerie d'État et à la Congrégation pour les évêques.

Cardinal


Berretta cardinalizia.png
http://www.catholicpressphoto.com/servizi/2009-04-03%20Card%20Betti/images/thumbs/Betti.jpg

Benoît XVI l'a créé cardinal, non électeur, lors du consistoire du 24 novembre 2007 avec le titre de cardinal-diacre de Santi Vito, Modesto e Crescenzia.

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7 mars 2015 6 07 /03 /mars /2015 00:00

Armoiries pontificales de Clément XIII


Clément XIII

(Carlo della Torre Rezzonico)
 pape

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Carlo della Torre di Rezzonico

 

Venise, 7 mars 1693

Rome, 2 février 1769

 

élu pape le 6 juillet 1758 sous le nom de Clément XIII

(en latin Clemens XIII, en italien Clemente XIII)

 

Biographie

Accession au pontificat 

Éduqué par les Jésuites à Bologne, il fit des études de droit canonique et commença sa carrière en 1716, à la Curie romaine, comme référendaire au Tribunal suprême de la Signature apostolique. En 1725, il fut promu auditeur de la Rote romaine pour la république de Venise. Il fut nommé cardinal-diacre en 1737. En 1747 il fut consacré évêque de Padoue. Il succéda sur le trône de Pierre à Benoît XIV, et fut le prédecesseur de Clément XIV. La même année la famille de Rezzonico célébrait le mariage de Ludovico Rezzonico avec une épouse de la puissante famille des Savorgnan. Fils de l'homme qui avait acheté le palais inachevé sur le Grand Canal (maintenant Ca' Rezzonico) et achevé sa construction, le nouveau pontife romain avait mauvaise réputation pour son népotisme effréné.

La question des Jésuites 

Malgré l'humilité et l'affabilité de son caractère droit et modéré, pudique à l'excès (il avait fait recouvrir de feuilles de figuier fabriquées en série les sculptures classiques du Vatican) et généreux avec sa vaste fortune personnelle, le pontificat de Clément XIII fut troublé par les pressions continuelles que tentaient de faire sur lui les milieux français influencés par l'esprit des Lumières, pour qu'il supprimât les Jésuites. Clément XIII mit à l'Index l'Encyclopédie de d'Alembert et Diderot, mais c'est une action qui aurait été plus efficace au siècle précédent. Une résistance plus inattendue vint des cours les moins portées au progrès, celles d'Espagne, des Deux-Siciles et du Portugal. En 1758, le ministre réformateur de Joseph Ier de Portugal (1750-1777), le Marquis de Pombal, expulsa les Jésuites du Portugal et les expédia en masse à Civitavecchia, comme « cadeau pour le Pape ». En 1760, Pombal renvoya à Rome le nonce apostolique et rappela l'ambassadeur du Portugal. Une brochure intitulée Brève Relation représenta les Jésuites comme ayant fondé en Amérique du Sud sous leur propre souveraineté un royaume pratiquement indépendant où ils tyrannisaient les Indiens, le tout pour servir leur insatiable ambition et leur avarice ; que cela fût vrai ou non (et c'était très clairement faux au sujet des Indiens, pour lesquels la sollicitude des Pères de la Compagnie est bien connue), c'était un coup très grave pour les Jésuites.

En France, le Parlement de Paris, dominé par la haute bourgeoisie et qui affichait des sympathies jansénistes, commença au printemps 1761 à faire pression pour expulser les Jésuites de France ; on publia des extraits de textes écrits par des Jésuites, ces affirmations étaient prises peut-être en dehors de leur contexte, mais cela nourrit la cause anti-jésuite. Quoiqu'une congrégation d'évêques réunie à Paris en décembre 1761 recommandât de ne rien faire, Louis XV (1715-1774) promulgua un ordre royal qui ne permettait à la Société de rester dans le royaume, que si certains changements étaient apportés dans leur constitution pour la conformer aux souhaits du Parlement et si l'on créait un vicaire-général des Jésuites français qui serait indépendant du général résidant à Rome. Le 2 août 1762, le Parlement supprima les Jésuites en France, en imposant des conditions inacceptables à chacune de leurs demandes de rester dans le pays, Clément XIII répondit par une protestation contre la violation des droits de l'Église et cassa l'arrêt, mais les ministres de Louis XV ne pouvaient permettre qu'on annulât ainsi une loi française et le Roi finalement expulsa les Jésuites en novembre 1764.

Clément XIII soutint énergiquement l'ordre dans une bulle papale Apostolicum pascendi, le 7 janvier 1765, où il repoussait comme des calomnies les critiques contre les Jésuites et louait l'utilité de l'ordre. En 1766, il rédigea la bulle Christianæ reipublicæ salus, contre les Lumières. Face à la France et au Portugal, il refusa de modifier les Constitutions de la Compagnie de Jésus. Tout cela fut presque partout ignoré : en 1768 les Jésuites avaient été expulsés de France, des Deux-Siciles et de Parme. En Espagne, ils se croyaient en sûreté, mais Charles III d'Espagne (1759-1788), impressionné par ce qu'on affirmait en France, choisit finalement d'agir encore plus énergiquement : dans la nuit du 2 au 3 avril 1767, toutes les maisons des Jésuites en Espagne furent soudainement encerclées, et ceux qui s'y trouvaient furent arrêtés, expédiés vers les ports dans les vêtements qu'ils portaient sur eux et entassés sur des bateaux qu'on envoya à Civitavecchia. Dans une lettre à Clément XIII, le Roi prévint que son allocation annuelle de 100 piastres serait retirée pour l'ordre entier si n'importe lequel de ses membres s'avisait à un moment quelconque d'écrire une justification quelle qu'elle fût ou de critiquer les motifs de leur expulsion, motifs qu'il refusait et refuserait toujours de discuter.

C'est pratiquement le même sort qui les attendait dans les territoires du duc de Parme et Plaisance, un Bourbon que conseillait le ministre libéral Guillaume du Tillot. En 1768, Clément XIII publia une protestation énergique (Monitorium) contre la politique du gouvernement de Parme. La question de l'investiture de Parme accrut les ennuis du Pape. Les Rois Bourbon soutinrent la cause de leur cousin, occupèrent Avignon, Bénévent et Pontecorvo et présentèrent conjointement une demande péremptoire pour la suppression totale des Jésuites (janvier 1769). Poussé dans ses derniers retranchements, Clément XIII consentit à convoquer un consistoire pour examiner la question, mais il mourut la veille même du jour où celui-ci devait se réunir (2 février 1769), non sans qu'on soupçonnât le poison, pour lequel, au vrai, il semble n'y avoir aucune preuve convaincante.

Selon le Registre Annuel pour 1758 : le Pape Clément XIII était « l'homme le plus honnête du monde; un ecclésiastique des plus exemplaires; pratiquant la morale la plus pure ; dévot, posé, cultivé, zélé... »

 

(en) « Clément XIII », dans Encyclopædia Britannica, 1911 [détail de l’édition] [lire en ligne]

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7 mars 2015 6 07 /03 /mars /2015 00:00
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7 mars 2015 6 07 /03 /mars /2015 00:00
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7 mars 2015 6 07 /03 /mars /2015 00:00
Créés le 7 mars 1921 
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6 mars 2015 5 06 /03 /mars /2015 00:00
Archevêques de Naples (Napoli)
Marcello Mimmi

mort le 6 mars 1961 à Rome
Chambellan privé de Sa Sainteté (1919)
Assistant du Trône pontifical (1936)
Evêque de Crema (1930)
puis Archevêque de Bari (1933)
 puis Archevêque de Naples (1952)
Cardinal-Prêtre (1953), puis Cardinal de San Callisto
puis Cardinal-Evêque de Sabina-Poggio Mirteto (1958)
Secrétaire de la Sacrée Congrégation Consistoriale (1957)

Ordonné prêtre le 23 décembre 1905, Marcello Mimmi enseigna au séminaire diocésain de Bologne et fut chapelain lors de la Première Guerre mondiale.

 

Nommé plus tard recteur d'un séminaire pontifical régional, il est consacré évêque de Crema en 1930, et en 1933 nommé archevêque de Bari.

 

Transféré à l'archevêché de Naples en 1952, il est créé cardinal en 1953.

 

Il s'était établi à Rome en 1957.

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6 mars 2015 5 06 /03 /mars /2015 00:00
Archevêques de Fribourg-en-Brisgau (Freiburg im Breisgau)
Bernhard Boll
(Stuttgart, 7 juin 1756 - Fribourg-en-Brisgau, 6 mars 1836)
 Archevêque de Fribourg (1827)
http://www.heraldique.org

 

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