9 avril 2015
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Au jour de la Saint Benoît, ayant quitté ce jour-là l'abbaye de Molesme avec l’autori sation d’Hugues de Die, archevêque de Lyon et légat du pape Urbain II, un petit groupe de vingt-et-un moines, conduit par Robert, un ancien abbé bénédictin de Saint-Michel de Tonnerre, apparenté à la grande famille des sires de Maligny, arrive dans l’alleu de Cîteaux pour y vivre dans l’esprit de prière et de pauvreté selon la règle écrite par Benoît de Nursie au VIe siècle.
Robert et ses disciples trouvent dans le bas-pays dijonnais, entre la Côte et le Val de Saône, dans une contrée peu peuplée, boisée, aux eaux dormantes, un lieu inculte, peu accueillant, hostile même, mais permettant la construction de bâtiments.
Les terres sont cultivables et peuvent assurer la subsistance des moines, tout en leur offrant l’isolement et le silence propices au recueillement et à la paix monastique.
C’est le commencement de la grande aventure des « moines blancs », qui travailleront pour l’implantation de la réforme grégorienne dans la vie monastique et dans l’Église, tout comme les clunisiens, les « moines noirs » avaient fait par rapport à la réforme othonienne du Xe siècle.
Robert de Molesme agit sous conseil de saint Aubry de Cassin (Albericus Cassinensis) et compta avec l’aide précieuse de l’érudit anglais Étienne Harding (celui qui divisa la Bible en chapitres et versets), abbé de Cîteaux entre 1099 et 1133.
Voilà pourquoi on considère tous les trois comme les co-fondateurs de l’ordre.
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actuel Grand-Maître et Général de l’Ordre Teutonique
(Hochmeister des Deutschen Ordens)
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Jacques de Molay, grand maître du Temple et Geoffroy de Charnay, commandeur de Normandie, condamnés par les cardinaux à la réclusion à perpétuité, reviennent sur leurs aveux. Les cardinaux se donnent la nuit pour réfléchir mais les condamnés sont brûlés vifs par les gens du roi, le soir même, dans l’Île aux Juifs à Paris, conformément au droit médiéval qui punit de mort les relaps. Avant d’expirer dans les flammes, Molay aurait maudit le roi Philippe le Bel et le pape Clément V en leur prédisant qu'ils mourraient eux-aussi avant la fin de l'année, ce qui fut le cas. 1682 Jacques-Bénigne Bossuet fait adopter par l’Assemblée du clergé sa Déclaration sur la puissance ecclésiastique dite déclaration des Quatre articles, manifestation de protestation gallicane contre la théorie de la papauté, pratiquée avec tant de hardiesse par Hildebrand (Grégoire VII) Le roi reconnaît au pape le pouvoir sur les choses spirituelles - qui concernent le salut - mais non sur les choses temporelles et civiles. Les souverains ne sont soumis à aucune puissance ecclésiastique par l’ordre de Dieu dans les choses temporelles et ne peuvent être déposés par l’autorité des chefs de l’Église. Les décisions du pape ne sont irréformables qu'autant qu'elles sont acceptées par l'Église. L'usage de la puissance apostolique doit être réglé par les canons. Cette déclaration constitue la charte du gallicanisme politique, à savoir le roi est le maître de l’Église de France et les décisions du Concile sont supérieures à celles du pape.
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