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18 décembre 2014 4 18 /12 /décembre /2014 00:00
Composition évèque.svg
Christian Nourrichard
Blason de Christian Nourrichard
« Verbum carum factum est »
« Le Verbe s'est fait chair » (Jn.1,14)

né à Notre-Dame-de-Bondeville, en Seine-Maritime le 24 mai 1948


 évêque catholique français, évêque d'Évreux depuis 2006.

Biographie 

Formation

Christian Nourrichard a suivi sa formation en vue de la prêtrise au Grand séminaire de Rouen, puis au séminaire Saint-Sulpice d’Issy-les-Moulineaux.

 

Il a obtenu un baccalauréat canonique en théologie.

 

Par la suite, il a complété sa formation à l'Institut supérieur de pastorale catéchétique (ISPC) de l’Institut catholique de Paris.

Principaux ministères 

Ordonné prêtre le 23 juin 1974 pour l'archidiocèse de Rouen, il a été vicaire à Elbeuf et à Yvetot tout en ayant un ministère auprès des jeunes par le biais de mouvements d'Action catholique : aumônier de l'Action catholique des enfants (ACE), de la Jeunesse ouvrière chrétienne (JOC) et de l'Action catholique ouvrière (ACO).

En 1984, il devient aumônier militaire de la région de Rouen. En 1989, il est nommé vicaire général, en charge de la formation des jeunes prêtres pour les diocèses de Rouen, Le Havre et Évreux et responsable de la pastorale familiale pour le diocèse de Rouen.

Nommé évêque coadjuteur pour le diocèse d'Évreux le 22 octobre 2005, il est consacré évêque cathédrale Notre-Dame d'Évreux le 18 décembre suivant et devient évêque titulaire du diocèse d'Évreux le 28 janvier 2006 en remplacement de Mgr Jacques David.

Au sein de la Conférence des évêques de France, il est membre du Conseil pour les mouvements et associations de fidèles depuis 2006.



La vie des diocèses - Diffusé le 23/05/2008 / Durée :26 mn
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18 décembre 2014 4 18 /12 /décembre /2014 00:00
Evêques de Liège

http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/3/34/Jean_de_Hornes.jpg
Jean de Hornes

(1450 - Maastricht, 18 décembre 1505 à Maastricht))

Prévôt de Liège
Evêque de Liège et Prince du Saint-Empire (1484)

  fut prince-évêque de Liège de 1483 à sa mort en 1505.

 

Il est élu Prince-évêque de Liège en 7 novembre 1483 et confirmé, par le pape Sixte IV , le 17 décembre 1483.

 

Il s'efforça de restaurer le territoire liégeois ruiné par les destructions et les troubles du règne de son prédécesseur, Louis de Bourbon.

 

La Paix de Saint-Jacques, compilation de textes législatifs antérieurs, fut publiée le 5 avril 1487.

 

En 1492, le souverain des Pays-Bas, Philippe le Beau, reconnut la neutralité liégeoise.

 

Il régna jusqu'en 1505.

 

Fichier:Jean de hornes .jpg

Monnaie liégeoise de Jean de Hornes

 

Précédé par
Louis de Bourbon
Prince-évêque de Liège
LuikVlag.svg
14841505
Suivi par
Érard de La Marck
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17 décembre 2014 3 17 /12 /décembre /2014 00:00
Evêques de Liège
Martin Hubert Rutten

(Kinrooi, 17 décembre 1841 - Liège, 17 juillet 1927)

Vicaire-Général de Liège (1879)
Evêque de Liège (1902)
Evêque d'Eupen et Malmedy (1920-1925 )

 

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17 décembre 2014 3 17 /12 /décembre /2014 00:00
Evêques d'Amiens
Geoffroy de La Marthonie
( ? - 17 décembre 1617)
Conseiller-Clerc au Parlement de Bordeaux
Archidiacre de Bordeaux
Evêque d'Amiens (1577)

http://www.heraldique.org/

 

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13 décembre 2014 6 13 /12 /décembre /2014 00:00
Evêques de Liège 
Adolphe de Waldeck

(? - 13 décembre 1302)

Comte de Waldeck
Evêque de Liège et Prince du Saint-Empire (1301)

 fut prince-évêque de Liège du 1er septembre 1301 au 13 décembre 1302.

 

Ce chanoine de Liège, docteur en théologie dut faire face à une insurrection de Huy et de Fosses.

 

Face à l'usure réprouvée par une bulle de Boniface VIII, il chasse ceux-ci personnellement de la Cité.

 

Il aurait été empoisonné par les Lombards.

 

Précédé par
Hugues de Chalon
Prince-évêque de Liège
LuikVlag.svg
13011302
Suivi par
Thiébaut de Bar

 

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12 décembre 2014 5 12 /12 /décembre /2014 00:00

Mgr Bestion, évêque de Tulle

Mgr Francis Bestion

Mgr Francis Bestion, évêque de Tulle
Le Pape François a nommé ce jeudi 12 décembre 2013, évêque de Tulle, Mgr Francis Bestion jusqu'à présent vicaire général du diocèse de Mende.

Mgr Bernard Charrier est nommé administrateur apostolique pour gouverner le diocèse jusqu'à la prise de possession canonique de son successeur.

La date de l'ordination sera communiquée ultérieurement.

Lire la biographie de Mgr Francis Bestion.


Mgr Bernard PODVIN
Porte-parole des évêques de France

 

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8 décembre 2014 1 08 /12 /décembre /2014 00:00
Evêques d'Alet
1639_Pavillon.jpg
Nicolas de Pavillon
 
Ordonné prêtre en 1627
Evêque-Comte d’Alet (en juin 1639)
célèbre janséniste
le 11 novembre 1597 à Paris
Décédé le 8 décembre 1677 dans son diocèse d'Alet  à l'âge de 80 ans

   
Parents

Nicolas Pavillon

Image illustrative de l'article Nicolas Pavillon

Biographie
Naissance 17 novembre 1597
à Paris
Ordination
sacerdotale
1627
Décès 8 décembre 1677
à Alet
Évêque de l'Église catholique
Consécration
épiscopale
22 août 1639
évêque d'Alet
1637 - 8 décembre 1677
Étienne de Polverel   Étienne de Polverel   Louis-Alphonse de Valbelle   Louis-Alphonse de Valbelle link=Louis-Alphonse de Valbelle
(en) Notice sur catholic-hierarchy.org

 

Il a été évêque d'Alet pendant quarante ans, de 1637 à sa mort.

Biographie

Nicolas Pavillon naît le 17 novembre 1597 à Paris, dans une famille de parlementaires.

 

Il fait ses études au collège de Navarre puis à la Sorbonne où il étudie la théologie, en même temps que Vincent de Paul, dont il sera le bras droit et le protégé.

 

Ordonné prêtre à 30 ans, il prêche pour l’œuvre des Missions.


Après l'avoir entendu lors d'une octave du Saint-Sacrement, le cardinal de Richelieu le nomme, en 1637, évêque du petit diocèse d'Alet1, au sud-est de Toulouse. Sacré le 22 août 1639, il devient, selon sa propre expression, « évêque de village »


Nicolas Pavillon réunit un synode en 1640 qui institue des conférences mensuelles pour redresser son clergé.

 

Mais sa volonté de réformer les mœurs se heurte aux chanoines de sa cathédrale ainsi qu'à la noblesse locale, qui portent leurs griefs au parlement de Toulouse. C'est un arrêt du Conseil du roi qui met un terme à la querelle.


Il s'attache à préparer les nouveaux prêtres au ministère, ainsi qu'à l'évangélisation et à l'enseignement élémentaire des populations montagnardes.

 

Après un premier séjour au séminaire qu'il a fondé, les candidats à la prêtrise sont envoyés dans les villages afin d'y tenir une école pour les garçons.

 

Les meilleurs retournent à Alet pour y recevoir une formation qui les conduit à l'ordination.

 

Des « régentes », filles de bonne famille, volontaires non organisées en communauté, sont vouées à l'enseignement des filles et à l'assistance des déshérités.

Nicolas Pavillon-gravure.jpg

Enfin, il est associé au mouvement janséniste et gallican, notamment par son refus de signer le Formulaire condamnant les propositions tirées de l’Augustinus de Jansénius.

Après être tombé malade le 15 octobre, il meurt le 8 décembre 1677 et devient vite un « héros » de la cause janséniste. Il repose dans le cimetière paroissial d'Alet-les-Bains, sous une dalle sans nom.

Références

  1. Le diocèse d'Alet a été supprimé à la Révolution française.

Bibliographie

  • François Bluche, « Nicolas Pavillon », in François Bluche (dir.), Dictionnaire du Grand Siècle, Fayard, 1990, p. 1165-1166.
  • Bernard Chedozeau, « La formation du clergé à Alet pendant l'épiscopat de N.P. (1639-1671) » Port-Royal et épiscopat. Colloque Alet-les-Bains 1982. In: Chronique Port-Royal 1983 Nr 32, 60-79
  • Marc Dubruel, « Un épisode de l'histoire de l'église de France au 17e siècle N.P. évêque d'Alet et Étienne de Caulet, évêque de Pamiers ». In: RSR VII 1917
  • Article Nicolas Pavillon, Dominique Blanc in Rémy Cazals et de Daniel Fabre (dir.) Les Audois - Dictionnaire biographique, Association des Amis des Archives de l’Aude, Fédération Audoise des Œuvres Laïques, Société d’Etudes Scientifiques de l’Aude, 1990.
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7 décembre 2014 7 07 /12 /décembre /2014 00:00
Composition évèque.svg
Patrick Le Gal
Blason de Patrick Le Gal
« Caritas Christi urget nos »

né le 14 janvier 1953 à Ermont dans le Val-d'Oise

évêque catholique français, évêque auxiliaire de Lyon depuis 2009.

Biographie 

Formation 

Élève du Collège Stanislas de Paris, il est ensuite diplômé de l'École supérieure de commerce de Rouen et obtient un diplôme d'étude comptable supérieure ainsi qu'une maîtrise en droit privé.


Il suit en outre ses études à l'université de Fribourg en Suisse où il a obtenu une licence en théologie.


Il a été ordonné prêtre le 8 décembre 1982 dans la communauté Notre-Dame de la Sagesse.

Principaux ministères 

Après son ordination, il est enseignant en droit canonique à l'Université de Fribourg, aumônier de cette université et juge à l'officialité de Lausanne, Genève et Fribourg.

En 1986, il revient en France comme avocat auprès de l'Officialité interdiocésaine d'Île-de-France et directeur du Foyer de charité de la Part-Dieu, à Poissy.

Nommé évêque de Tulle le 12 septembre 1997, il a été consacré le 7 décembre suivant par le cardinal Pierre Eyt.

Le 23 mai 2000, il a été nommé évêque aux Armées françaises.

Au sein de la Conférence des évêques de France, il a été membre du Comité permanent pour les affaires économiques.

Il est actuellement membre de la Commission financière et du Conseil pour les affaires économiques, sociales et juridiques.

En septembre 2009, il annonce que son contrat dans l'armée ne sera pas renouvelé en mai 2010. [1].

Dès le 7 octobre 2009, il est nommé évêque auxiliaire de Lyon, avec le titre d'évêque titulaire (ou in partibus) d'Arisitum[2].



La vie des diocèses - Diffusé le 24/04/2009 / Durée :26 mn

Découverte d'un diocèse sans frontière : le diocèse aux Armées.

Mgr Patrick le Gal, qui est à la tête du diocèse aux Armées depuis l'an 2000, revient sur les derniers événements marquants, du 50ème pèlerinage international à Lourdes au Livre blanc qui inquiète les militaires de l'Armée française.

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Exclusif : le départ de l'évêque aux Armées est officiel !
Exclusif : le départ de l’évêque aux Armées est officiel !Portrait de Patrick Le Gal
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6 décembre 2014 6 06 /12 /décembre /2014 00:00
Evêques d'Alet
François de Boucaud

(Montpellier, 1685 - Alet, 6 décembre 1762)

Abbé de Saint-Maurin (1752)
Evêque-Comte d’Alet (1724)
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6 décembre 2014 6 06 /12 /décembre /2014 00:00

Jean-Baptiste-Marie de Maillé de La Tour-Landry



Évêque de Gap (1778-1784)

Évêque de Saint-Papoul (1784-1801)

Évêque de Rennes, Primat de Bretagne (1802-1804)


Parents

religieux français qui joua un rôle important durant la Révolution française.

Biographie

Né au château d'Entrammes, près de Laval, Jean-Baptiste-Marie de Maillé de La Tour-Landry est issu d'une famille de la vieille noblesse. Son père était gentilhomme de la chambre du roi. Élève des Oratoriens, le jeune homme est fait chanoine de Senlis en 1757 mais s'engage peu après dans l'armée pour participer à la guerre de Sept ans. Réintégrant les ordres en 1764, il étudie au séminaire parisien de Saint-Sulpice et est ordonné prêtre en 1769. Il accède ensuite rapidement aux responsabilités ecclésiales. Il commence par être vicaire général de Mgr de Grimaldi au Mans dès 1769, puis prend en 1773 les mêmes fonctions auprès de son compatriote Mgr Urbain-René de Hercé, évêque de Dol. Élevé à l'épiscopat, il est sacré à son tour le 3 mai 1778 et occupe d'abord le siège de Gap d'où il passe, en 1784, à celui de Saint-Papoul, un évêché dépendant de la métropole de Toulouse, peu important par son étendue, car on n'y comptait que quarante-quatre paroisses, mais d'un revenu assez considérable. Il mène alors, au témoignage de Cambacérès, une existence de prélat mondain absentéiste attiré par les plaisirs de la capitale.

Paradoxalement, c'est la Révolution française qui détermine Mgr Maillé de La Tour-Landry à assumer pleinement sa dignité épiscopale. Le diocèse de Saint-Papoul est supprimé en 1791[2], ce qui dispense son ancien titulaire de prêter le serment constitutionnel. Maillé se retire à Paris, puis à Passy pendant la Terreur. Il anime clandestinement l'église réfractaire à Paris, conjointement avec l'abbé Émery, et ordonne secrètement nombre de nouveaux prêtres[3]

 

Arrêté immédiatement après le coup d'État du 18 fructidor an V, il est envoyé en détention à l'île de Ré, en attendant son transport à la Guyane. Son séjour à l'île de Ré, où il assume la direction de la communauté des prêtres détenus, se prolonge jusqu'à la fin de 1799, époque à laquelle Napoléon Bonaparte, arrivé au pouvoir, rend la liberté aux prêtres déportés. Il rentre alors à Paris et y reprend ses fonctions d'évêque clandestin.

 

Après la signature du Concordat, il est un des premiers évêques à faire sa soumission à la volonté du pape et au nouveau régime. En conséquence, son nom est l'un des premiers retenus pour intégrer les cadres de la nouvelle Église, et il est nommé évêque de Rennes le 9 avril 1802. Sa prise de fonction épiscopale est marquée par son intransigeance absolue à l'égard des prêtres issus du clergé constitutionnel. Convoqué par Bonaparte, il reste ferme devant les admonestations de celui-ci et n'accepte de concéder qu'un dixième des paroisses de son évêché aux anciens assermentés.

 

Venu à Paris en 1804 pour assister au sacre de Napoléon Ier, il tombe malade et y meurt le 27 novembre 1804 après avoir été entendu en confession par son ancien confrère en clandestinité M. Émery, supérieur général des Sulpiciens. Quelques jours après ses obsèques, les curés de Paris, en témoignage de leur reconnaissance, célèbrent en sa mémoire une messe à laquelle assistent presque tous les évêques qui se trouvaient dans la capitale, fort nombreux du fait de la présence du pape en France à l'occasion du sacre impérial. Cet honneur était lié au rôle que le défunt avait joué pour maintenir la continuité de l'Église catholique durant la Révolution française.

  • Mémorial de la Mayenne, Godbert, Laval, 1845, p. 302-304.

Bibliographie 

  • Pierre Victor, « Mgr Maillé, évêque de saint-Papoul, déporté de Fructidor », Revue de la Révolution, 1883, vol. II.
  • Vicomte de Broc, Une énigme de l'ancien régime sous la Révolution : M. de Maillé de la Tour Landry, Paris, 1894.
  • Jean Lemarchand, Un évêque de contrebande sous la Révolution : Mgr Jean-Baptiste de Maillé de La Tour-Landry, 1743-1804, Paris, Tequi, 1996, 269 p.
  • Jacques-Olivier Boudon, notice « Maillé de La Tour-Landry » (p. 201-203) in Les Élites religieuses à l'époque de Napoléon, Paris, Nouveau Monde éditions-Fondation Napoléon, 2002.
  1. Amédée Guillotin de Corson, Pouillé historique de l'archevêché de Rennes, Fougery, 1880, p. 737.
  2. Michel Lagrée, Mentalités, religion et histoire en Haute-Bretagne au XIXe siècle : le diocèse de Rennes, 1815-1848, Paris, Klincksieck, 1977, p. 214.
  3. Michel Lagrée, Mentalités, religion et histoire en Haute-Bretagne au XIXe siècle : le diocèse de Rennes, 1815-1848, Paris, Klincksieck, 1977, p. 168. Marc Laurand, dans Le Serment de Nicolas Simon, Nouvelles éditions latines, 1990, p. 80, lui en attribue 195 entre 1795 et 1797, mais Jacques-Olivier Boudon borne ce chiffre à seulement 70 nouveaux prêtres.




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