Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Recherche

Diocèses

http://catholique-paris.cef.fr/-45-20-Mot-de-la-semaine-audio-.html
Mot de la semaine de
Mgr André Vingt-Trois

http://www.radionotredame.com/Emissions.asp?Code=488
L'entretien du cardinal
Mgr André Vingt-Trois

http://www.radionotredame.com/Emissions.asp?Code=289
  Paroles d'Evêques

http://www.cef.fr/catho/vieglise/conf_eveque/eveques/index.php

A - B - C - D - E - F - G - H - I - J -K - L
M - N - O - P - Q - R - S - T - V - W - Z
cardinal hat
The Cardinals of the Holy Roman Church

 General List of Cardinals (112-2007)
http://img256.imageshack.us/img256/8250/vetementscardinal.jpg
Les Cardinaux de la Sainte Eglise romaine

Liste générale des Cardinaux (112-2007)
http://catholique-paris.cef.fr/
L
es diocèses de France
http://www.messesinfo.cef.fr/

http://www.eglise.catholique.fr/ressources-annuaires/guide-de-leglise/dioceses-et-paroisses/carte-des-dioceses.html
9 octobre 2014 4 09 /10 /octobre /2014 23:00
Composition évèque.svg
Norbert Turini
Blason de Norbert Turini
« Aimer, Évangéliser, Servir »

né le 30 août 1954 à Cannes dans les Alpes-Maritimes


 évêque français, évêque de Cahors depuis 2004.

Le 5 avril 2001, il est élevé à la dignité de prélat d’Honneur de Sa Sainteté par le pape Jean-Paul II.

 

Biographie 

Formation 

Après avoir obtenu une licence en sciences de la vie à l'Université de Nice, Norbert Turini est entré au Grand séminaire de Marseille avant de poursuivre sa formation après son ordination à la faculté de théologie de Strasbourg où il a obtenu une licence dans cette discipline en 1985.

Principaux ministères 

Il est ordonné prêtre le 27 juin 1982 pour le diocèse de Nice.

Après avoir été pendant 10 ans responsable du service diocésain des vocations, responsable de l'année propédeutique du séminaire et responsable d'un foyer d'étudiants chrétiens, il est devenu vicaire épiscopal pour la pastorale des jeunes de 1996 à 2000, puis vicaire général du diocèse de Nice jusqu'en 2004.

Nommé évêque de Cahors le 30 juin 2004, il a été consacré le 10 octobre 2004.

Au sein de la Conférence des évêques de France, il est membre du Conseil pour la pastorale des enfants et des jeunes.

Prises de position 

Il critique l'attitude de l'évêque de Recife dans une affaire d'excommunication dans le cadre d'un avortement sur une très jeune fille suite à un inceste au Brésil. [1]



La vie des diocèses - Diffusé le 28/11/2008 / Durée :26 mn

La beauté du patrimoine du diocèse de Cahors est à la hauteur du dynamisme de son évêque. Arrivé en 2004, Mgr Turini décide un an plus tard d'ouvrir un chemin synodal . Les diocésains cheminent alors pendant tois ans avec une question en tête: "Que pensez-vous de la mission de l'Eglise aujourd'hui?". Ils retrouvent lors de la messe de clôture de la démarche un pasteur heureux, satisfait d'un chantier abouti l'ayant éclairé sur les attentes de ses diocésains et particulièrement des non-croyants.

  • Lire

    Voir la video
  • Plein écran

Partager cet article
Repost0
8 octobre 2014 3 08 /10 /octobre /2014 23:00
Conclave - 1700

09 octobre 1700 à 23 novembre 1700

 

Partager cet article
Repost0
8 octobre 2014 3 08 /10 /octobre /2014 23:00

Cardinal
http://www.comune.sarzana.sp.it/Citta/Cultura/Personaggi/Casoni_Filippo.jpg
 Filippo Casoni

 cardinal italien

Né le 06 mars 1733

Décédé le 9 octobre 1811

Partager cet article
Repost0
8 octobre 2014 3 08 /10 /octobre /2014 23:00

Armoiries pontificales de Pie XII


{{{légende}}}


 Eugenio Pacelli

 futur pape italien Pie XII

Eugenio Maria Giuseppe Giovanni Pacelli

(Rome, 2 mars 1876Castel Gandolfo, 9 octobre 1958)

 élu pape le 2 mars 1939 sous le nom de Pie XII

(en latin Pius XII, en italien Pio XII).
Partager cet article
Repost0
8 octobre 2014 3 08 /10 /octobre /2014 23:00
Blason de Jean-Baptiste de Belloy-Morangle

Jean Baptiste de Belloy

né à Morangles dans le diocèse de Beauvais le 9 octobre 1709

mort à Paris le 10 juin 1808

inhumé à Notre-Dame de Paris

 évêque de Marseille après Belsunce en 1756

 archevêque de Paris en 1801

Berretta cardinalizia.png cardinal.

Il fut également l'inventeur de la cafetière.

D'un esprit modéré, il fut un des évêques qui facilitèrent la conclusion du Concordat. Après la période si difficile de la Révolution, la bonté, le désir de paix, l'action pacifiante de ce prélat furent très bénéfiques pour l'Église de France.


Biographie 

Bien qu'appartenant à une famille ancienne ayant quelque renom sur le plan militaire, le jeune Belloy préféra suivre une carrière ecclésiastique et fit ses études scolaires puis théologiques à Paris, où il fut ordonné prêtre et reçu docteur en théologie en 1737.

 

Dans son ministère il brilla plus par sa vertu que par son érudition. La douceur de son caractère, son zèle éclairé et modéré, sa fidélité inébranlable envers les principes et les traditions de l’Église, tout cela le caractérisa au cours de sa vie et rendit tout de suite son ministère remarquablement fructueux. Son évêque, le cardinal de Gèvres, le nomma vicaire général et archidiacre de la cathédrale. En 1751 il fut sacré évêque de Glandèves. Lors de la célèbre l'Assemblée du clergé français de 1755, il se rangea dans le camp des modérés et contribua à restaurer la tranquillité dans l'Église de France.

 

Dans le diocèse de Marseille, les dissensions occasionnées par la bulle Unigenitus étaient devenues si vives qu'à la mort de l’évêque Belsunce, il y avait un danger imminent de schisme.

 

Dans cette situation critique il fallait un pasteur d'une prudence et d'un tact consommé et c'est pourquoi Belloy y fut transféré.

 

Sans sacrifier aucun de ses principes ni de ses devoirs, mais en employant la douceur, le tact et la justice, il gagna la confiance des deux partis et rétablit la paix.


En juillet 1790, l'Assemblée nationale décréta la suppression du diocèse de Marseille.

 

L'évêque se retira, tout en envoyant à l'Assemblée une lettre de protestation contre la suppression d'un des plus vieux sièges épiscopaux de France.

 

Il se retira à Chambly, petite ville près de son lieu de naissance, où il resta pendant la période la plus critique de la Révolution française.

 

Quand, en 1801, le pape décida que les évêques français devraient offrir leur démission pour faciliter la conclusion du Concordat, il fut le premier à se soumettre, et son exemple eut une forte influence sur les autres évêques. Bonaparte, favorablement impressionné par cet acte de dévotion envers l'Église et l'État, le nomma au siège de Paris bien qu'il fût nonagénaire.

Son grand âge ne l'empêcha pas de diriger son nouveau diocèse avec une énergie et intelligence stupéfiantes, réorganisant les paroisses, leur donnant de bons prêtres et tenant à visiter lui-même ses ouailles.

 

Nonobstant, il fut malmené par "l'affaire" des funérailles de la danseuse Marie-Adrienne Chameroy peu après avoir été nommé sénateur.

 

En effet, Napoléon Ier fut tant satisfait de son service qu'il le fit membre du Sénat conservateur le 27 fructidor an X (14 septembre 1802), et qu'il demanda et obtint pour lui le chapeau de cardinal, que Pie VII plaça sur la tête du vénérable prélat au cours d'un consistoire tenu à Paris, le 1er février 1805.

 

Il prend en charge la chaire de l'église San Giovanni a Porta Latina de 1805 à 1808.

 

Il remit la Couronne d'Épines à sa place d'honneur dans la Sainte-Chapelle (10 août 1806)

 

À sa mort, à 98 ans, le cardinal de Belloy avait passé soixante-quinze ans dans le saint ministère pour l'édification de tous et à la satisfaction évidente de Napoléon aussi bien que de Pie VII, alors pourtant engagés dans une lutte acharnée.

 

Il fut enterré à Notre-Dame, où le monument que Napoléon fit ériger en son honneur, œuvre de Louis Pierre Deseine, est un des plus beaux de la cathédrale.

Inventeur de la cafetière 

Vers 1800, il invente le système de la percolation du café et de la première cafetière (appelée aussi dubelloire)

Une rue de Paris porte son nom

 

Précédé par Jean-Baptiste de Belloy Suivi par
Henri de Belsunce
Évêque de Marseille
1755-1791
Charles Benoît Roux
Jean-Baptiste Royer
Archevêque de Paris
1801-1808
Jean-Sifrein Maury
Partager cet article
Repost0
7 octobre 2014 2 07 /10 /octobre /2014 23:00
Evêques d'Alet
Charles Nicolas Taffoureau Des Fontaines

(Sens, août 1655 - Alet, 8 octobre 1708)

Evêque-Comte d’Alet (1699)
Partager cet article
Repost0
7 octobre 2014 2 07 /10 /octobre /2014 23:00
Conclave - Octobre / Décembre 1590

8 Octobre 1590 à 5 Décembre 1590

 

Partager cet article
Repost0
7 octobre 2014 2 07 /10 /octobre /2014 23:00
Composition archevèque.svg
archeveque
H. L. de Quélen
Hyacinthe-Louis de Quelen

né à Paris le 8 octobre 1778

décédé à Paris le 31 décembre 1839

nhumée dans la chapelle Saint-Marcel de la Cathédrale Notre-Dame de Paris.

125e archevêque de Paris, de 1821 à 1839.

Biographie 

Hyacinthe-Louis de Quélen fit ses études au Collège de Navarre et sous la direction de plusieurs précepteurs ecclésiastiques dont M. Émery.


Ordonné prêtre en 1807, il servit un an comme vicaire général de Saint-Brieuc avant de devenir secrétaire du cardinal Fesch.

 

Il retourna dans l'archidiocèse de Paris et fut affecté à Saint-Sulpice et dans les hôpitaux militaires.

 

 

Sous la Restauration, il devint successivement directeur spirituel des écoles de l'archidiocèse, vicaire général de Paris, évêque in partibus de Samosate et coadjuteur du cardinal archevêque de Paris Alexandre Angélique de Talleyrand-Périgord à qui il succéda sur le trône archiépiscopal en 1821.

 

Très en cour auprès de Louis XVIII puis de Charles X, il fut élu à l'Académie française contre Casimir Delavigne le 29 juillet 1824, élection qu'il attribua avec humilité, dans son discours de réception, à la religion et non à ses titres académiques qui étaient en effet fort réduits. Membre de la Chambre des Pairs, il s'opposa, au nom des classes moyennes, à la conversion de la dette nationale.

 

En bénissant la première pierre de la chapelle expiatoire, il demanda en vain l'amnistie des conventionnels exilés. Il s'opposa également à l'ordonnance de 1828 expulsant les Jésuites.

 

 

Sous la monarchie de Juillet, bien que Mgr de Quélen n'eût pas été partisan des ordonnances de juillet 1830 et eût fait des avances au nouveau régime[1], il était suspect de légitimisme aux yeux de Louis-Philippe. Pendant la révolution de 1830, il fut par deux fois contraint de quitter son palais archiépiscopal et dut subir de virulentes calomnies. L'émeute violente provoquée par les Républicains après un service religieux pour le onzième anniversaire de la mort du duc de Berry les 14 et 15 février 1831 détruisit entièrement l'archevêché, qui se trouvait sur le flanc sud de la cathédrale Notre-Dame et contraignit Mgr de Quélen à s'installer dans le couvent des Dames du Sacré-Cœur rue de Varenne.

 

Dès lors, sous la monarchie de Juillet, il se borna à participer à quelques cérémonies officielles comme le baptême du comte de Paris, petit-fils aîné du roi (1838), ou le Te Deum chanté en l'honneur des armées d'Afrique

 

Pour le reste, il s'en tint à ses devoirs pastoraux, effectuant de nombreuses visites paroissiales, veillant à l'instruction religieuse des conscrits et organisant le clergé métropolitain. Il se signala particulièrement par sa conduite noble durant la terrible épidémie de choléra de 1832 : il transforma les séminaires en hôpitaux, s'occupa personnellement des malades de l'Hôtel-Dieu, et fonda l'Œuvre des orphelins du choléra.

 

En 1831, il se signala également par la dureté dont il fit preuve à l'égard de l'abbé Henri Grégoire en ordonnant à son clergé que lui soient refusés les derniers sacrements ainsi que des funérailles religieuses. C'est à la hauteur de vues de La Fayette que l'abbé dut d'être accompagné par la population parisienne à son lieu de sépulture.

 

Mgr de Quélen s'éteignit le 31 décembre 1839, sa dépouille fut inhumée dans la chapelle Saint-Marcel de la Cathédrale Notre-Dame de Paris.

 

Précédé par Hyacinthe-Louis de Quélen Suivi par
Alexandre Angélique de Talleyrand-Périgord
Archevêque de Paris
Denys Affre
Partager cet article
Repost0
7 octobre 2014 2 07 /10 /octobre /2014 23:00
archeveque
Jean Baptiste Royer
Jean Baptiste Royer


né à Cuiseaux, le 8 octobre 1733

 mort à Besançon (Doubs), le 11 avril 1807

 prélat et homme politique français

 député à la Convention nationale et au Conseil des Cinq-Cents.

Il était fils de médecin.

 

Entré dans les ordres, il devint curé de Chavannes-sur-Suran.

 

Élu le 16 avril 1789, député suppléant du clergé aux États généraux par le bailliage d'Aval, il fut admis à siéger le 1er mars 1790 à l'Assemblée constituante, en remplacement de Bruet, curé d'Arbois, démissionnaire.

 

Il prêta serment à la Constitution civile du clergé, et fut élu évêque de l'Ain en février 1791.

 

Au Club des Jacobins, il s'opposa à Billaud-Varenne lorsque ce dernier proposa de proclamer la République.

 

Élu le 5 septembre 1792 député de l'Ain, le 3e sur 6 avec 290 voix sur 372 votants, à la Convention nationale, il siégea parmi les modérés.

 

Lors du procès de Louis XVI, il vota pour la culpabilité du roi, pour la ratification du jugement du peuple, pour « la réclusion pendant la guerre et le bannissement à la paix » et pour le sursis.

 

Le 13 avril 1793, il vota pour la mise en accusation de Marat, et, le 28 mai, pour le rapport du décret qui, à l'initiative des Montagnards, avait cassé la Commission des Douze la veille, et dont les Girondins obtinrent le rétablissement.

 

Il protesta contre la proscription des Girondins lors de la journée du 2 juin 1793, ce qui provoqua son décret d'arrestation le 3 octobre.

 

Il ne revint siéger à la Convention que le 18 frimaire an III (8 décembre 1794)

 

Fin 1794, il constitua avec Grégoire, Desbois et Saurine le groupe des "Évêques réunis à Paris" qui se donna pour mission de régénérer l’Église de France gravement affaiblie par la campagne de déchristianisation et les démissions d’évêques et de prêtres.

 

Élu par ses collègues, conformément au décret des deux tiers, le 4 brumaire an IV (26 octobre 1795) au Conseil des Cinq-Cents, il y siégea jusqu'au 20 mai 1798, devint évêque constitutionnel de Paris, et fut installé à Notre-Dame de Paris le 25 août 1798.

 

Compromis dans le discrédit de l'Église constitutionnelle, il démissionna en 1801 et se retira à Besançon auprès de l'archevêque Claude Le Coz, qui le fit chanoine de Besançon.

 

Royer adressa au pape la rétractation de ses serments révolutionnaires, et se voua, dans les dernières années de sa vie, au service des malades.

  • Rodney J. Dean, L'abbé Grégoire et l'Église constitutionnelle après la Terreur 1794-1797, Paris, 2008.
  • Adolphe Robert, Gaston Cougny, Dictionnaire des parlementaires français de 1789 à 1889, Paris, Bourloton, 1889, tome 5, pp. 219-220
  • Archives parlementaires de 1787 à 1860 : recueil complet des débats législatifs et politiques des Chambres françaises, première série, 1787 à 1799, tome LXXI.
Précédé par Jean-Baptiste Royer Suivi par
Jean-Baptiste Gobel
Archevêque de Paris
Jean Baptiste de Belloy
Partager cet article
Repost0
7 octobre 2014 2 07 /10 /octobre /2014 23:00
Blason de Aloisio Lorscheider
Aloísio Leo Arlindo Lorscheider
Image de Aloisio Lorscheider

 né le 8 octobre 1924
 décédé le 23 décembre 2007

 franciscain (O.F.M.) brésilien, archevêque d'Aparecida

 cardinal influent dans les années 1960 et 1970.

 Il était connu pour être un défenseur de la théologie de la libération.

 Son nom a été cité comme papabile lors des conclaves de 1978.

Origines et jeunesse 

Lorscheider était d'origine allemande. Il est né à Estrela, dans l'État du Rio Grande do Sul au Brésil. Il entre au petit séminaire franciscain de Taquari dès l'âge de neuf ans.

Prêtre 

Il commence son noviciat en 1942, prononce ses vœux définitifs en 1946 et est ordonné prêtre le 22 aout 1948. Il vient à Rome pour étudier la théologie. Après avoir obtenu son doctorat en 1952, il enseigne au Brésil au séminaire franciscain de Divinopolis.

 

Alors qu'il est retourné enseigner à Rome de 1958 à 1962, il est nommé évêque de Santo Angelo dans l'État du Rio Grande do Sul par le pape Jean XXIII.

Évêque et archevêque 

Il est consacré évêque le 20 mai 1962 et participe au Concile Vatican II de 1962 à 1965.

 

En 1973, Paul VI le nomme archevêque de Fortaleza dans l'État du Ceará. En 1995, il est transféré du siège de Fortaleza à celui d'Aparecida par Jean-Paul II.

 

En 1971, après y avoir occupé différents postes, il est élu président de la Conférence épiscopale brésilienne, poste qu'il occupera jusqu'en 1978. En 1976, il devient également président du Conseil Episcopal d'Amérique Latine (CELAM), et le restera jusqu'en 1979.

Cardinal 

Berretta cardinalizia.png

Paul VI le crée cardinal lors du consistoire du 24 mai 1976 avec le titre de cardinal-prêtre de San Pietro in Montorio. Il est alors le quatrième plus jeune cardinal du collège cardinalice. Il participe aux deux conclaves de 1978, consécutifs aux décès de Paul VI et de Jean-Paul 1er. Son nom est alors cité parmi les papabile et il aurait recueilli une douzaine de voix lors du conclave d'août qui aboutit à l'élection de Jean-Paul 1er.

 

Malade et ayant dépassé l'âge de 80 ans, il n'assista pas aux réunions préparatoires du conclave de 2005 suite à la mort de Jean-Paul II.

Prises de positions 

Le cardinal Lorscheider est connu pour avoir été au Brésil un défenseur des pauvres et un opposant déterminé à la dictature militaire, ce qui lui valut une grande popularité au sein de la population brésilienne. Il adopta une position conciliante vis à vis de la Théologie de la libération. En particulier, dans les années 1980, il défendit au Vatican le théologien Leonardo Boff et regretta les sanctions qui furent prises à son encontre.

Partager cet article
Repost0

Pages

Livre d'Or

http://www.noelshack.com/uploads/16062009/Livre-dOr-DP031757.gif

 

Catégories