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30 septembre 2014 2 30 /09 /septembre /2014 23:00
Conclave - 1523

1er Octobre 1523 au 19 Novembre 1523

 

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30 septembre 2014 2 30 /09 /septembre /2014 23:00

Blason de Cahal Brendan Daly

 Cahal Brendan Daly
http://saints.sqpn.com/wp-content/gallery/new-catholic-dictionary/cardinal-cahal-brendan-daly.jpg

né le 1er octobre 1917 à Loughguile en Irlande

mort le 31 décembre 2009 à Belfast

 cardinal irlandais, archevêque émérite d'Armagh de 1990 à 1996.


Biographie 

Prêtre 

Après ses études en philosophie et en théologie, Cahal Brendan Daly a été ordonné prêtre le 22 juin 1941.

Il a consacré son ministère sacerdotal à l'enseignement.

Évêque

Nommé évêque d'Ardagh le 26 mai 1967, il est consacré le 16 juillet suivant par le cardinal William Conway.

Le 24 août 1982, il est nommé évêque de Down and Connor, avant de devenir archevêque d'Armagh et primat de toute l'Irlande le 6 novembre 1990. Il se retire de cette charge le jour de ses 79 ans, le 1er octobre 1996.

Cardinal 
Berretta cardinalizia.pnghttp://www.aciprensa.com/Cardenales/images/daly.jpg

Il est créé cardinal par le pape Jean-Paul II lors du consistoire du 28 juin 1991 avec le titre de cardinal-prêtre de S. Patrizio.

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30 septembre 2014 2 30 /09 /septembre /2014 23:00

blason

Mgr Jacques Fihey

http://www.eglise.catholique.fr/img/1-1441-234x160-0/fihey.jpg

 

né à Narbonne (Aude) le 1er octobre 1931

 

évêque français, évêque émérite de Coutances et Avranches.

 

Il a reçu les insignes d'Officier de la Légion d'honneur en avril 2004.

 

Biographie 

Formation 

Après être entré au Grand séminaire de Nantes, Jacques Fihey a poursuivi sa formation à Rome à l'Université pontificale Angelicum et à l'Université pontificale grégorienne.


Il a obtenu un doctorat en théologie et une licence en droit canonique.

Ordonné prêtre pour le diocèse de Nantes le 29 juin 1955.

Principaux ministères 

Après avoir été vicaire et aumônier des étudiants de Nantes, il est devenu en 1970 professeur au Grand séminaire de Nantes.

 

Dès 1971, il occupe des responsabilités nationales comme Secrétaire général adjoint de l'épiscopat français chargé de l'opinion publique.

 

Nommé évêque auxiliaire de Marseille par Paul VI le 7 mai 1977, il a été consacré dans la Cathédrale Saint-Pierre de Nantes le 10 juillet suivant.


Le 12 février 1983, il est nommé vicaire aux armées françaises et devient le premier évêque aux armées en 1986 à l'élévation du vicariat en diocèse.


Il est ensuite nommé 8e évêque de Coutances et Avranches le 22 juin 1989.

 

Il s'est retiré à Nantes le 1er octobre 2006.


 

 

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30 septembre 2014 2 30 /09 /septembre /2014 23:00

Blason de Toussaint de Forbin-Janson

Ministère de la culture - base Mémoire

 Toussaint Forbin de Janson

 dit le cardinal de Janson

 

cardinal et évêque de Beauvais

 

de la famille des marquis de Janson en Provence

 

né le 1er octobre 1631 à Mane en Provence

 

mort à Paris le 24 mars 1713.

 

Il est l'oncle de l'archevêque d'Arles, Jacques II de Forbin-Janson.

Biographie

Destiné à l’ordre de Malte, il fit des études ecclésiastiques et rentra dans les ordres.

 

L’évêque de Digne, Raphaël de Boulogne, obtint du roi sa nomination comme coadjuteur.

 

Sacré évêque in partibus de Philadelphie le 14 mai 1656, il prit la charge du siège de Digne en 1658 avant d’être nommé en 1662 par le roi à l’évêché de Marseille.

 

Devenu, par ce nouveau titre, membre des états de Provence, il fut remarqué par Louis XIV.

 

Envoyé en ambassade auprès de Cosme III, grand-duc de Toscane, il réussit à réconcilier ce dernier avec son épouse, la grande-duchesse Marguerite-Louise d'Orléans.

 

Nommé plus tard ambassadeur extraordinaire de Louis XIV à la diète de Pologne, convoquée alors pour désigner un roi, l’évêque de Marseille parvint à en éviter la scission et, aidé du palatin de Russie, il fit élire le grand maréchal de la couronne, Jean Sobieski.

 

Berretta cardinalizia.png

Le nouveau roi, reconnaissant, contribua à la désignation de l’ambassadeur comme cardinal, le 23 février 1690, sous Alexandre VIII avec le titre de cardinal-prêtre de Sainte-Agnès-hors-les-Murs (Santa Agnese fuori le mura)

 

Dès 1679, Louis XIV lui avait confié l’évêché de Beauvais, comté-pairie, et l’avait, en 1689, nommé commandeur de l’ordre du Saint-Esprit.

 

La cour de France était depuis plusieurs années en discussion avec celle de Rome, au sujet de la régale.

 

Le roi jugea le cardinal de Janson apte à lever tous les obstacles et l’envoya à Rome.

 

La mort d’Alexandre VIII, le 13 août 1691, interrompit les négociations qui furent reprises sous le pape Innocent XII (à l’élection duquel le cardinal de Janson avait concouru), et menées à bien par lui et le cardinal d’Estrées.

 

En 1693, il reçoit le titre de cardinal-prêtre de Saint-Calixte (S. Callisto)

 

Le roi laissa le cardinal de Janson à Rome pour y soutenir les intérêts de la couronne de France.

 

Il y était encore en 1700, à la mort d’Innocent XII.

 

Il assista au conclave où fut élu Clément XI, auprès duquel il continua de résider pendant plusieurs années.

 

La grande aumônerie de France, devenue vacante en 1706 par la mort du cardinal de Coislin, fut attribuée par Louis XIV au cardinal de Janson, déjà largement récompensé.

 

N’étant encore qu’évêque de Digne, il avait condamné dans son synode et censuré l’Apologie des casuistes.

 

À Beauvais, on lui reprocha de ne pas suivre les traces de Nicolas Choart de Buzenval, son prédécesseur, et d’écarter les jansénistes qui avaient eu la confiance de ce prélat.

 

Il mourut à Paris le 24 mars 1713, à la suite d’une longue maladie, étant âgé de 88 ans, et doyen des évêques de France.

 

Son corps fut inhumé dans la cathédrale de Beauvais, où une épitaphe rappelait ses fonctions.

 

« Toussaint de Forbin-Janson », dans Louis-Gabriel Michaud, Biographie universelle ancienne et moderne : histoire par ordre alphabétique de la vie publique et privée de tous les hommes avec la collaboration de plus de 300 savants et littérateurs français ou étrangers, 2e édition, 1843-1865 

Précédé par Toussaint de Forbin-Janson Suivi par
Étienne de Puget
Évêque de Marseille
1668-1684
Jean-Baptiste d'Étampes


 cardinal français, évêque de Beauvais
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30 septembre 2014 2 30 /09 /septembre /2014 23:00
Matthieu Schiner
Blason de Matthieu Schiner

Image de Matthieu Schiner
 (Mathieu Scheiner dans certains ouvrages français)

 né en 1465 à Mühlebach, près d'Aragnon (Ernen)

mort le 1er octobre 1522 à Rome

 cardinal et une personnalité politique suisse
 évêque de Sion, puis de Novare en Italie.

Il est souvent désigné comme « le cardinal de Sion »


Monument à l'effigie de Schiner dans son village natal d'Ernen

On ne connaît pas la date précise de sa naissance. Il était le fils de Peter Schiner et de son épouse Katharina Zmitweg. Schiner était considéré comme un esprit extrêmement brillant, avec de très larges vues politiques ; il mena une carrière politique européenne ambitieuse et parvint aux plus hautes fonctions, en échouant toutefois à se faire élire pape.

Il fut ordonné prêtre à Rome le 21 avril 1489 après des études à l'école diocésaine de Sion puis à Côme. En 1496, il devint curé d'Aragnon, ensuite chanoine et doyen de la cathédrale de Sion puis en 1492, secrétaire du tribun Jörg auf der Flüe (Georges Supersaxo). Supersaxo fut au début son protecteur mais deviendrait plus tard l'un de ses adversaires politiques les plus acharnés. Schiner participa à l'éviction de l'évêque Jost von Silenen (1482-1496), honni en tant que fondé de pouvoirs de la France dans le Valais. Son oncle Nicolas Schiner devint évêque de Sion : son épiscopat dura de 1496 à 1499.

Le 20 septembre 1498, Schiner fut nommé évêque par le pape Alexandre VI, il reçut l'évêché de Sion le 13 octobre de l'année suivante. Les développements de la politique de la France en Italie et la situation géographique du Valais en tant que région de passage stratégique entre les deux contrées via les cols alpins permirent bientôt à Matthieu Schiner, qui était fin diplomate et chef de guerre audacieux, de jouer un rôle politique européen de premier plan. Schiner mit tout son poids contre les menées de la France. À la paix d'Arona en 1503, il obtint pour les cantons suisses la possession des districts de Bellinzone et de Blenio.

Il convainquit les Confédérés de conclure une alliance avec le pape Jules II : il fut ainsi, de manière indirecte, à l'origine du corps des gardes suisses pontificaux. C'est avec l'aide des contingents suisses que Louis XII et les Français furent chassés d'Italie à la suite des bataille de Pavie en 1512 et de Novare en 1513. En gratification de ses services, le pape lui octroya le titre honorifique de « Libérateur de l'Italie et protecteur de l'Église ». Le 22 septembre 1511, il le nommait cardinal et lui attribuait une charge ecclésiastique à Würzburg. De 1512 à 1517, il fut à la tête de l'évêché de Novare en Italie et fut légat du pape.

Après la bataille de Marignan (1515) qui vit la victoire de François Ier, il fit les frais de la politique de réconciliation entre le pape Léon X et le roi de France. En 1517, son ancien mentor George Supersaxo - qui s'était entre temps allié avec la France - l'empêcha de revenir dans son évêché de Sion et le força à prendre la fuite. Schiner s'installa alors à Zurich ; c'était encore un politicien de grande influence. C'est grâce à cette influence que Charles-Quint put accéder à l'Empire et que Schiner lui-même devint son conseiller. En 1521, il parvint à reprendre le contrôle du Milanais pour le compte de l'empereur.

Mathieu Schiner était favorable aux thèses humanistes, et ami d'Érasme comme de Zwingli. Il était lui-même persuadé de la nécessité de réformer profondément l'Église catholique mais refusa toujours de rompre avec la papauté. C'est pourquoi, en 1521, il fut l'un des opposant les plus influents à Martin Luther et fut l'un des rédacteurs de l'édit de Worms.

Lors du conclave qui suivit la mort de Léon X en 1522, il recueillit un nombre important de suffrages mais l'opposition des cardinaux français devait l'empêcher d'être élu comme nouveau pape. Il mourut de la peste à Rome le 1er octobre 1522 et fut inhumé dans l'église Santa Maria dell'Anima.

Bibliographie 

  • Albert Büchi (dir.), Korrespondenzen und Akten zur Geschichte des Kardinals Matth. Schiner I-II (Quellen zur Schweizer Geschichte. Neue Folge. III Abt.: Briefe und Denkwürdigkeiten 5-6), Bâle, 1920-1925
  • id., Kardinal Matthäus Schiner als Staatsmann und Kirchenfürst. Ein Beitrag zur allgemeinen schweizerischen Geschichte von der Wende des XV.-XVI. Jahrhunderts. Vol. I: (jusqu'en 1514) (Collectanea Friburgensia. Neue Folge 18, Zürich 1923), Vol. II: (1515-1522) Aus dem Nachlass hrsg. von Emil Franz Josef Müller (Collectanea Friburgensia. Neue Folge 23), Freiburg-Leipzig 1937
  • Carl Jacob Burckhardt, Kardinal Matthäus Schiner, in Raron, Burg und Kirche, édition procurée par Alfred A. Schmid, Lonza-AG, Bâle, 1972 ISBN 3-7643-0635-1
  • Paul de Chastonay, Kardinal Schiner. Führer in Kirche und Staat, Lucerne, 1938
  • Gonzague de Reynold, Kardinal Matthias Schiner, in: Grosse Schweizer, dir. Martin Hürlimann et al., Zurich 1938
  • Rudolf Trabold, Matthäus Schiner - Ein Schweizer im Purpur, roman historique, Berne, 1942.
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30 septembre 2014 2 30 /09 /septembre /2014 23:00

Blason de Giuseppe Casoria
Giuseppe Casoria


né le 1er octobre 1908 à Acerra, dans la province de Naples en Campanie
mort le 8 février 2001

 cardinal italien de la curie romaine

 préfet du Congrégation pour le culte divin et la discipline des sacrements de 1981 à 1984.

Biographie


Succession apostolique 

Succession apostolique
Bishopcoa.png
Consécrateur : Paul VI
Premier co-consécrateur principal : Bernard Jan Alfrink
Second co-consécrateur principal : William John Conway
Date de la consécration : 13 février 1972
Co-consécrateur principal de
Évêque Date de la consécration
Martino Matronola 8 mai 1977
Prêtre 

Giuseppe Casoria est ordonné prêtre le 21 décembre 1930.

 

Il entre à la curie romaine alors qu'il n'est encore que prêtre. Ainsi, il est nommé secrétaire de la Congrégation pour la discipline des sacrements le 9 avril 1969.

Évêque

Il est nommé archevêque, avec le titre in partibus de Forum Novum, le 6 janvier 1972 et est consacré le 13 février suivant par le pape Paul VI en personne.

 

Le 2 février 1973, il est nommé secrétaire de la Congrégation pour les causes des saints. Il devient pro-préfet de la Congrégation pour le culte divin et la discipline des sacrements le 24 août 1981 avant d'en devenir préfet le 3 février 1983, lendemain de sa création comme cardinal. Il se retire, pour raison d'âge, le 8 avril 1984.

Cardinal

Il est créé cardinal par le pape Jean-Paul II lors du consistoire du 2 février 1983 avec le titre de cardinal-diacre de S. Giuseppe in via Trionfale.

 

Il est élevé au rang de cardinal-prêtre le 5 avril 1993.

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30 septembre 2014 2 30 /09 /septembre /2014 23:00

Créé le 1er octobre 1817 

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29 septembre 2014 1 29 /09 /septembre /2014 23:00

Blason  

« In te cor Jesu speravi »
(« J'espère en toi, cœur de Jésus »)

Image illustrative de l'article Stanisław Nagy

Stanisław Kazimierz Nagy


(en français Stanislas Casimir Nagy)

 

né à Bieruń Stary en Pologne (Haute-Silésie) le 30 septembre 1921

 

mort à Cracovie le 5 juin 2013

 

théologien

 

cardinal polonais de l'Église catholique romaine

 


Son père était hongrois et sa mère polonaise

 

Biographie

Prêtre

Il est ordonné le 8 juillet 1945 pour la congrégation des prêtres du Sacré-Cœur de Jésus (déhoniens).

Jeune prêtre, il est recteur du petit séminaire des déhoniens à Cracovie-Płaszów, puis du grand séminaire de Tarnów en Pologne.

En 1972, il enseigne à l'université catholique de Lublin.

Il a été membre de la Commission théologique internationale.

Cardinal

Il est créé cardinal, non électeur, par Jean-Paul II lors du consistoire du 21 octobre 2003 avec le titre de cardinal-diacre de S. Maria della Scala.

Il avait été consacré archevêque in partibus d'Hólar quelques jours auparavant.

Il est l'auteur de nombreux ouvrages sur Jean-Paul II, dont il a été longtemps un collaborateur et ami.

Ouvrages

  • Europa krzyżem bogata. Od Golgoty do Strasburga
  • Tak! Wielki. Czyn i osoba bł. Jana Pawła II

Décorations

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29 septembre 2014 1 29 /09 /septembre /2014 23:00

Election du 30 Septembre 1061


(Alexandre II)

 

Le pape Nicolas II mourut à Florence le 27 Juillet 1061.


Mgr Anselmo da Baggio de Lucques, pas un cardinal, a été élu son successeur sur le Septembre 30 1061, dans l'église de S. Pietro in Vincoli, Rome, et prit le nom d'Alexandre II.  

 

Aucune information n'a été trouvée sur les participants lors de l'élection, mais il est supposé que la disposition de Nicolas II en ne donnant que les évêques cardinaux le droit d'élire le nouveau pontife a été suivie.

 

Ci-dessous, les noms des évêques cardinaux au moment de la mort du pape Nicolas.


 

Giovanni , évêque de Porto.
 

Boniface , évêque d'Albano.
 

Giovanni , évêque de Tivoli.
 

Humbert , évêque de Silva Candida (1).
 

Giovanni , évêque de Sabina.
 

Pietro , évêque de Labico.
 

Pierre Damien , OSBCam., évêque d'Ostie.

Gilberto , évêque de Labico.

Bruno , évêque de Palestrina.

Gregorio , suburbicaire ne vois pas connue (Velletri?).

Boniface , évêque de Gabio.


Certaines sources indiquent qu'il est mort le 4 mai 1061, et, par conséquent, il ne pouvait pas avoir participé à l'élection du pape Alexandre II le 30 Septembre, 1061.

 

D'autres, indiquent qu'il est mort au cours de ce pape pontificat, en 1073 ou en 1074 pendant le pontificat du pape Grégoire VII.

 

Très probablement, il était le cardinal Mainardo , OSBCas.


(1049), son successeur comme évêque de Silva Candida, qui ont participé à ce conclave.

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29 septembre 2014 1 29 /09 /septembre /2014 23:00
Arnaud de Lévézou

 († 30 septembre 1149)


 ecclésiastique qui, à titre d'évêque de Béziers (1095-1121)

 puis d'archevêque de Narbonne (1121-1149) et de légat pontifical permanent (v. 1128), joua un rôle important dans les affaires politiques et religieuses de la France méridionale au cours de la première moitié du XIIe siècle.

Carrière ecclésiastique 

Fils d'Acfred, seigneur de Lévézou en Rouergue et d'Arsinde, fille de Richard II, vicomte de Millau et de Rixinde de Narbonne[1], Arnaud naît au sein d'une famille féodale qui avait fortifié le Lévézou au XIe siècle.

 

Sa carrière ecclésiastique bénéficia probablement de l'influence de son oncle maternel Richard de Millau, abbé de Saint-Victor de Marseille (1079-1106), archevêque de Narbonne (1106-1121), cardinal et de nombreuses fois légat pontifical en France et en Espagne[2],[3]

 

D'abord prieur de l'abbaye de Cassan[réf. nécessaire], Arnaud est élu évêque de Béziers en 1095 ou 1096.

 

Après la mort de son oncle Richard de Millau, le 15 février 1121, Arnaud est élu à sa place le 16 avril suivant archevêque de Narbonne[4]

 

Vers 1128, le pape Honorius II l'institue légat permanent du Saint-Siège[5]

Un partisan du comte de Toulouse dans la « Grande guerre méridionale » 

En 1114, Guillaume IX de Poitiers, duc d'Aquitaine, au nom des droits de son épouse Philippa, s'empare de Toulouse, au détriment du jeune comte Alphonse.

 

En 1119, lorsque les Toulousains se révoltent contre l'occupation poitevine, massacrent le châtelain du duc et reconnaissent Alphonse comme seigneur, celui-ci, retenu hors de la ville, en confie le gouvernement à Arnaud de Lévezou, alors évêque de Béziers[6].


Pendant la minorité de la vicomtesse Ermengarde de Narbonne en 1134, Arnaud soutint la régence de Alphonse Jourdain, comte de Toulouse, qui conquit Narbonne en 1139 avec l'aide de l'archevêque.

Bibliographie 

  • (fr) Jérôme Belmon, « Les vicomtes de Rouergue-Millau (Xe-XIe siècles », dans Positions des thèses soutenues par les élèves de la promotion 1992, École nationale des chartes, Paris, 1992, p. 21-30. [texte intégral] .
  • (fr) Jérôme Belmon, « Aux sources du pouvoir des vicomtes de Millau (XIe siècle) », dans Vicomtes et vicomtés dans l’Occident médiéval, Presses universitaires du Mirail, Toulouse, 2008, p. 189-202 et annexe CD, p. 167-185. (ISBN 978-2-85816-942-9) . [présentation en ligne]
  • (fr) Jacqueline Caille, « Les seigneurs de Narbonne dans le conflit Toulouse-Barcelone au XIIe siècle », dans Annales du Midi, vol. 97, no 171, juil.-sept. 1985, p. 227-244. (ISSN 0003-4398) 
  • (fr) Laurent Macé, Les comtes de Toulouse et leur entourage, XIIe-XIIIe siècles : rivalités, alliances et jeux de pouvoir, Privat, Toulouse, 2000 (réimpr. 2003), 445 p. (ISBN 2708956000).
    Publication de la thèse de doctorat de l'auteur (1998).
     
  1. Belmon 2008, p. 199 et annexe CD, p. 173.
  2. Belmon 2008, p. 200.
  3. Belmon 1992.
  4. Caille 1985, p. 229.
  5. Georges Pariset, « L'Établissement de la primatie de Bourges », dans Annales du Midi, vol. 14, 1902, p. 296, note 2. (ISSN 0003-4398)  [Texte intégral (Internet Archive) [archive]]
  6. Macé 2000, p. 24.
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