cardinal italien du XIXe siècle.
Il est un neveu du cardinal Tommaso Riario Sforza (1823).
Les autres cardinaux de la famille sont Pietro Riario (1471), Raffaele Sansoni Riario (1477) et Alessandro Riario
(1578).
Riario est élu évêque d'Aversa et archevêque de Naples en 1845.
Le pape Grégoire XVI le crée cardinal lors du consistoire du 19 janvier 1846.
Il participe au conclave de 1846, lors duquel Pie IX est élu pape.
Il participe au concile de Vatican I en 1869-1870.
Paul VI annonce au lendemain de son élection son intention de continuer le Concile.
Dans les mois qui précédèrent la tenue de la deuxième session plénière, il s'efforce de corriger certains problèmes d'organisation et de procédure qui étaient apparus au cours de la session précédente.
Il invita notamment d'autres observateurs laïcs catholiques et non-catholiques, avant de supprimer l'exigence du secret qui prévalait lors des sessions plénières.
Dans cette perspective d'"ouverture", il évite d'intervenir dans les débats du Concile et se cantonne dans un rôle d'observateur.
Dans son discours pour l'ouverture de la deuxième session, le 29 septembre 1963, le pape insista sur la nature pastorale du concile, et lui donna quatre objectifs principaux :
Pendant cette session, les Pères conciliaires approuvèrent la constitution sur la liturgie - Sacrosanctum Concilium - ainsi que le décret sur les moyens de communications de masse - Inter Mirifica.
Les travaux avancèrent sur les schemata traitant de l'Église, des évêques et des diocèses, et de l'œcuménisme.
Le 8 novembre 1963, le cardinal Joseph Frings critiqua l'institution du Saint-Office (qui portait avant 1908 le nom de Sainte Inquisition romaine et universelle), ce qui suscita une réponse passionnée de son Secrétaire, le cardinal Alfredo Ottaviani.
Cet échange est souvent considéré comme l'un des plus intenses du Concile24
La deuxième session s'achève le 4 décembre: dans son discours de clôture Paul VI annonce son intention de se rendre à Jérusalem.
C'est en janvier 1964, sur les lieux de la Passion du Christ qu'il rencontre le patriarche Athénagoras.
Paul-Thérèse-David d'Astros
né le 15 octobre 1772 à Tourves
mort le 29 septembre 1851 à Toulouse
Il est inhumé dans le chœur de la cathédrale Saint-Étienne de Toulouse (caveau nord)
Il fut ordonné prêtre en 1797. Neveu de Jean-Étienne-Marie Portalis, il participa à l'élaboration du Concordat de 1801.
Il fut ensuite vicaire du cardinal Belloy, archevêque de Paris et administra le diocèse après la mort de celui-ci et jusqu'à l'ordination du cardinal Maury.
Accusé d'avoir promulgué la bulle de 1809 de Pie VII excommuniant Napoléon Ier, il fut emprisonné à Vincennes jusqu'en 1814.
Suite à la restauration des Bourbons, il fut ordonné évêque de Bayonne en 1820, puis en 1830, archevêque de Toulouse.
En 1850, il fut créé cardinal par Pie IX sur demande de Napoléon III.
Schismatic Cardinal Lando , deacon of S. Angelo in Pescheria, was set up as Antipope Innocent III on September 29, 1179.
This is the account of the event by Mann, The Lives of the Popes in the Middle Ages.
The Popes at the Hight of their Temporal Influence, Innocent II. to Blessed Benedict XI., 1130-1305 , vol. X, 1159-1198 , p. 137: "a few of the unruly barons of the Campagna had the effrontery to attempt to set up a certain Lando of Sezza as Innocent III.
His chief supporter was a brother of Antipope Octavian.
Out of hatred of Alexander, this baron gave Lando a strong castle he had at Palombara, and from which the antipope ravaged the neighbourhood. Cardinal Hugo, however, in a few months contrived to get possession of the fortress by bribing its defenders, and the miserable Lando, with his chief adherents, was shut up for life in the monastery of La Cava (January 1180)."
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Au Québec, Louis-Albert Vachon étudie dans les facultés de philosophie et de théologie catholique.
Il est ordonné prêtre le 11 juin 1938 par le cardinal Jean-Marie-Rodrigue Villeneuve.
Après avoir obtenu un doctorat en philosophie de l'Université Laval en 1947, il devient en 1949 docteur en théologie de l'Angelicum de Rome.
De retour au Canada, il enseigne à l'Université Laval, d'abord en philosophie puis en théologie jusqu'en 1955.
Il y est ensuite nommé vice-recteur en 1959 puis recteur de 1960 à 1972.
Il est aussi supérieur du Grand Séminaire de Québec.
En 1960, il devient vicaire général du diocèse.
Le 4 avril 1977, le pape Paul VI le nomme évêque auxiliaire de Québec avec le titre d'évêque titulaire (ou in partibus) de Mesarfelta.
Il est consacré le 14 mai suivant par le cardinal Maurice Roy.
En 1981, il est nommé archevêque de Québec et primat de l'Église canadienne.
Le pape Jean-Paul II, qu'il a accueilli lors de sa visite au Canada en 1984, le crée cardinal lors du consistoire du 25 mai 1985 avec le titre de cardinal-prêtre de S. Paolo della Croce a “Corviale”
Le cardinal Vachon s'est fait remarquer pour avoir exigé que la visite du pape commence par la ville de Québec, siège primatial de l'Église canadienne, plutôt qu'à Ottawa, comme le voulait la diplomatie canadienne.[1]
En 1987, il révoque le statut d'association pieuse de l'Armée de Marie et lui reproche son caractère sectaire, avec l'appui de Joseph Ratzinger, alors préfet de la Congrégation pour la doctrine de la foi.
Il se retire en 1990 devenant ainsi archevêque émérite.
Il s'éteint à Québec le 29 septembre 2006[1]
L'ancien élève et évêque de Québec, Maurice Couture, et Jean-Guy Paquet, ancien recteur de l'Université Laval, lui attribuaient la capacité d'être à la fois un intellectuel d'une grande prestance et un être terre-à-terre et réaliste[2]
Mgr Vachon fut le dernier recteur de l'Université Laval à appartenir au clergé catholique, son successeur immédiat Larkin Kerwin étant un laïc.