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2 mars 2015 1 02 /03 /mars /2015 00:00

 

 

 

Au jour de son 63e anniversaire, le cardinal romain Eugenio Maria Pacelli était élu pape au tiers scrutin du conclave qui suivit la mort de Pie XI.


http://pourquoisecompliquerlavie.files.wordpress.com/2009/12/piusxii.jpg

 

Le nouveau Souverain Pontife prit le nom de Pie XII.

 

Il fut secrétaire d’État de son prédécesseur et au moment de son élection était camelingue de la Sainte Église Romaine.

 

Dans l’image, le Pères cardinaux rendent la première « adoratio » au nouvel élu.

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2 mars 2015 1 02 /03 /mars /2015 00:00

 

 Le cardinal Pacelli devient le pape Pie XII


Au jour de son 63e anniversaire, le cardinal romain Eugenio Maria Pacelli était élu pape au tiers scrutin du conclave qui suivit la mort de Pie XI.

 

Le nouveau Souverain Pontife prit le nom de Pie XII.

 

Il fut secrétaire d’État de son prédécesseur et au moment de son élection était camelingue de la Sainte Église Romaine.

 

Dans l’image deux instants de la journée : la fumée blanche e l’annonce formel que l’élection a eut lieu fait par le cardinal proto-diacre Camillo Caccia Dominioni.

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2 mars 2015 1 02 /03 /mars /2015 00:00

Armoiries pontificales de Léon XIII

Léon XIII

{{{légende}}}

né Vincenzo Gioacchino Raffaele Luigi Pecci

 

Né le 2 mars 1810 

 

Décédé le 20 juillet 1903

 

257e pape de l'Église catholique

(nom latin : Leo XIII ; nom italien : Leone XIII)

 

Ayant succédé au pape Pie IX le 20 février 1878, il régna jusqu'à sa mort en 1903.

 

Il est enterré à la basilique du Latran.

20 luglio 1903

Muore nel Palazzo Apostolico Vaticano il papa Leone XIII (Vincenzo Gioacchino Raffaele Luigi Pecci) ai 93 anni di età e 25 di pontificato (uno dei più lunghi e fecondi nella Storia della Chiesa). Papa Pecci venne sepolto nella Basilica di San Giovanni in Laterano.
Précédé par Léon XIII Suivi par
Pie IX
Emblem of the Papacy SE.svg
Liste des papes
Pie X

 

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2 mars 2015 1 02 /03 /mars /2015 00:00
 Archevêques de Lyon

Image de Pierre-Paul Guérin de Tencin

Pierre-Paul Guérin de Tencin

Abbé de Vézelay (1702), de Trois-Fontaines (1739), de Saint-Paul de Verdun (1740), d’Ainay (1757)

Ministre d’Etat (1742)

Archevêque d’Embrun et Prince du Saint-Empire (1724), Comte de Beaufort et de Guillestre
 
puis Archevêque-Comte de Lyon (1740)

Cardinal-Prêtre (1739), puis Cardinal de Santi Nereo e Achilleo (1739)

 né le 22 août 1680   à Grenoble

 mort le 2 mars 1758 à Lyon

cardinal, archevêque de Lyon et un homme politique sous Louis XV.

C'est l'exemple même d'un abbé qui sut mêler la vie de cour avec un véritable engagement en faveur des pauvres, les intrigues avec la compassion.

Une famille récemment anoblie 

Le quadriaïeul de la famille, Pierre Guérin, issu d'une famille travaillant la terre près de Gap, à Ceillac, était simple colporteur.

 

La trentaine venue, il vint s'établir en 1520 à Romans dans le Dauphiné.

 

Habile de ses mains et ayant quelques économies, il acheta une petite boutique où il vendit tout d'abord des articles d'épicerie puis de joaillerie.

 

S'étant enrichi, il put acquérir une terre à Monteux, prendre de moitié l'entreprise des péages par eau et par terre de Valence et de Mirmande et, ainsi, envoyer ses deux enfants, Pierre et Antoine, à l'Université.

 

Ce dernier, devenu docteur ès lois, acheta ensuite une charge d'officier de justice à Romans, puis épousa plus tard Françoise de Garagnol, une jeune fille de bonne maison.

 

Lors des guerres de religion qui ravagèrent la région, il sut, grâce à sa sagesse et modération, sauver la ville de Romans des protestants ; ce qui valut à ce catholique modéré et fidèle au roi le 3 octobre 1585 des lettres de noblesses de Henri III, enregistrées au parlement le 21 mars 1586.

 

Voilà comment le fils d'un colporteur enrichi devint noble.

 

Il était cependant méprisé des nobles les plus anciens.

 

Son fils, Henri-Antoine Guérin, en 1597, sauva une deuxième fois la ville en empêchant par une action héroïque qu'elle ne soit livrée, par des traîtres, au duc de Savoie.

 

Il eut sept enfants dont un, François, acheta la charge anoblissante de conseiller au parlement de Grenoble.

 

Son épouse, Justine du Faure, lui apporta la petite terre de peu d'importance appelée Tencin (Grésivaudan), qui faisait partie du domaine de Monteynard.

 

François remplaça son patronyme par celui de cette terre et, juste avant sa mort (1672), acheta pour faire bonne figure, en bordure des vignes de son domaine, un vieux castel sarrasin à demi ruiné appelé simplement le château de la Tour.

 

Il y fit édifier une vaste demeure à la mode de l'époque.

Un fils cadet promis aux ordres 

Le fils aîné de François Guérin, Antoine, devint conseiller au parlement de Grenoble puis premier président à Chambéry lors de l'occupation française.

 

Il épousa Louise de Buffévent, une femme fort vertueuse qui lui donna deux fils, dont Pierre-Paul Guérin de Tencin, et trois filles, dont l'une, Alexandrine, devint la fameuse dame de Tencin et une autre, Marie-Angélique, fut la mère d' Antoine de Feriol de Pont-de-Veyle et de Charles-Augustin de Ferriol d'Argental.

 

Étant le fils cadet, Pierre-Paul de Tencin, né à Grenoble le 22 août 1679, dut suivre à Paris le séminaire oratorien de Saint-Magloire.

 

Si ses connaissances générales n'étaient pas extraordinaires, ce fut néanmoins un bon latiniste et un excellent théologien.


En 1700, il suit le cardinal Le Camus, évêque de Grenoble, pour l'assister pendant la durée du conclave.


Le Pape choisi, le cardinal Albani, se jugeant indigne de la charge, refuse : ce sera le jeune de Tencin qui sera chargé de le faire changer d'avis.


Il y réussira fort bien et le cardinal est finalement élu sous le nom de Clément XI.


La récompense est tôt accordée : Louis XIV lui attribue l'abbaye de Vézelay, qui lui vaut 12'000 livres de revenus[2] (15 avril 1702)

 

A la Sorbonne, il remplit les fonctions de prieur et passe sa licence.


L'archevêque de Sens, Mgr de La Hoguette, qui l'a pris en amitié, le nomme peu après archidiacre de sa cathédrale.


Finalement il reçoit la prêtrise puis obtient un canonicat.


Le 9 mars 1705, il devient docteur en Sorbonne et la même année, député du clergé pour la province de Vienne, en qualité de chanoine prébendier du prieuré de La Mure, dans le diocèse de Grenoble.


En 1710, le diocèse de Sens le désigne pour siéger à l'assemblée du clergé, chargée de verser des sommes d'argent au roi qui en manquait cruellement.


En effet la fin du règne de Louis XIV fut très sombre pour la France.

 

Le pays ne connaissait que défaites et famines.

 

Le vieux roi sollicita ainsi son bon clergé pour soulager la peine du peuple.


Celui-ci accepta de lui accorder une partie de ses revenus.

 

Ce fut un don gratuit, preuve que le clergé français se souciait également du bien du royaume.

L'ascension politique 

Protégé de Dubois depuis 1714 et secondé par sa sœur qui ne déplaisait pas au cardinal, l'abbé de Tencin fut à l'origine de la conversion de Law au catholicisme le 17 septembre 1719.


Il ne se contenta pas toutefois de ce rôle de convertisseur : il prit une part active au Système.

 

Officiellement il ne fut chargé que de la gestion des aumônes gouvernementales.


Ce qu'il fit avec compétence et autorité.


Cependant, comme d'immenses fonds passaient par ses mains, le public de l'époque n'eut aucun doute sur les profits qu'il avait pu réaliser dès les débuts du système.


Il passait également pour l'un des principaux conseillers de Law, ainsi que le témoigne une lettre du diplomate Chavigny à Lafitau :


"M. Law a associé à son travail M. l'abbé de Tencin comme l'homme qui était le plus propre à le remplacer en cas d'accident, il n'y a effectivement personne en France qui ait mieux connu et mieux compris que M. l'abbé de Tencin le système de Law (...)"

 

(12 janvier 1720)[3]


S'il est certain donc que l'abbé de Tencin a profité du Système, il convient d'ajouter à sa décharge cependant qu'il aurait pu encore en profiter davantage.

 

Mais ses principes chrétiens lui permirent de conserver une certaine modération malgré la tentation certaine qu'il eut à vaincre.


L'année suivante, en 1721, à un moment où l'opinion publique était très remontée contre lui, l'abbé de Tencin perdit définitivement un procès contre l'abbé Etienne de Veissières, au sujet d'une dépendance de l'abbaye de Vézelay, et acheva ainsi de se perdre au yeux du monde qui ne vit plus en lui "qu'un abbé habile et fripon, capable de tout pour s'enrichir"[4]

 

 

 

Ce fut à nouveau le cardinal Dubois qui le remit en selle : il l'envoie à Rome à la suite du cardinal de Bissy pour assister au conclave et surtout pour l'aider à obtenir le cardinalat, ce dont Tencin s'acquittera avec succès.

 

La récompense ne tarde pas : Tencin est nommé chargé des affaires du roi Louis XV à Rome le 6 novembre 1721.

 

L'abbé de Tencin passa plus de trois ans en Italie : il y laissa un excellent souvenir - n'est-ce pas lui par exemple qui fit dessiner et construire le majestueux escalier de la place d'Espagne ? - devint même l'ami du pape Innocent XIII, suscitant la jalousie et les médisances de ses coreligionnaires.

 

L'abbé était à la fois un homme du monde accompli et un véritable homme de foi.

 

Ceci contrastait avec le climat d'intrigues politiques de la curie romaine dont les membres étaient préoccupés par leur ascension politique auprès du pape.

 

Nommé archevêque d'Embrun en mai 1724, il fut rappelé en France et renvoyé dans son diocèse où il resta en disgrâce quelque quinze ans.

 

Il présidera le concile d'Embrun contre les jansénistes en 1727 qui verra la condamnation de l'archevêque Jean Soanen.

 

Berretta cardinalizia.png

Créé cardinal au titre cardinalice Santi Nereo e Achilleo le 23 février 1739 grâce à l'aide du Prétendant Stuart, il fut reçu primat de Lyon le 24 septembre 1740, avec une pension de 366'000 livres[5] par an.

 

Le bordereau de ses aumones quant à lui était d'environ 200'000 livres l'année, c'est dire là amplement de son soucis constant pour les indigents.[6]


Sous Fleury, il devint deux ans plus tard, en septembre, ministre d'État sans portefeuille, siégeant au Conseil du Roi.

 

Cependant, à la mort du cardinal (1743), il perdit le semblant d'autorité qu'il possédait encore et se trouva dans un isolement complet

 

"Sa seule fonction à la Cour consistait désormais à présider le bureau des pauvres communautés"[7]

 

Le 9 août 1749, il est encore nommé proviseur de la Sorbonne.

 

Il prit le parti finalement en 1751 de se retirer dans son diocèse auquel il avait prouvé sa constante sollicitude par de nombreux mandements :


"Il est tout simple, écrivait-il à l'évêque d'Auxerre[8], qu'un évêque à mon âge songe à rejoindre son épouse. Je n'aurois pas tant tardé, si je n'avois pas été retenu par les sollicitations du Pape : Sa Sainteté m'a cru beaucoup plus utile à l'Eglise et à la religion que je ne le suis".[9]


Installé dans son diocèse, "il résolut de s'y consacrer exclusivement, multipliant ses visites pastorales, s'occupant avec zèle des moindres détails de son administration, indifférent désormais aux querelles religieuses, aux événements politiques, laissant même tomber sa correspondance avec Benoît XIV qui ne devait guère lui survivre."[10]

 

Il mourut à Lyon en 1758, regretté de toute la population qui appréciait son humanité et sa générosité, l'essentiel de ses gains allant vers les pauvres de son diocèse.

Œuvres 

Concilium provinciale Ebreduni habitum, Pierre Faure, Gratianopolis (Grenoble), 1728, petit in-folio de 268 pages.

  1. certaines sources [archive] indiquent 1679, d'autres [archive] indiquent 1680
  2. (Environ 180 000 euros actuels.)
  3. Jean Sareil, Les Tencins, Librairie Droz, Genève, 1969, p.63.
  4. Jean Sareil, op.cit, p. 78.
  5. (Environ 5,5 millions d'euros actuels.)
  6. Renée Caroline de Froulay de Créquy (1714-1803), Souvenirs de la marquise de Créquy de 1710 à 1803, Paris, Garnier Frères, Libraires Editeurs, T. 2, 1873, p.154.
  7. Boutry, Maurice, Intrigues et missions du cardinal de Tencin, Paris, Emile-Paul, Editeur, 1902, p.273.
  8. Le Dran, Mémoires, "Sur le progrès et la fortune de l'abbé de Tencin".
  9. Duc de Luynes, ''Mémoires du duc de Luynes sur la Cour de Louis XV (1735-1758), L.Dussieux et E. Soulié, Paris, Firmin-Didot, 1864, 17 vol. in-8, 8 mai 1751.
  10. Boutry, Maurice, op. cit, p.276.

Bibliographie

  • Maurice Boutry, Une créature du cardinal Dubois : Intrigues et missions du cardinal de Tencin, Emile-Paul, Editeur, Beauvais, 1902.
Précédé par Pierre Guérin de Tencin Suivi par
Charles-François de Châteauneuf de Rochebonne
Primat des Gaules
Antoine de Malvin de Montazet
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2 mars 2015 1 02 /03 /mars /2015 00:00

Blason de Francisco Robles Ortega

http://www.semanario.com.mx/2007/559-10212007/fotos/FranciscoRoblesOrtega.jpg
Francisco Robles Ortega

né le 2 mars 1949 à Mascota au Mexique

 cardinal mexicain, actuel archevêque de Monterrey.

Biographie 

Études 

Francisco Robles Ortega a passé ses années de séminaire au Mexique, puis a complété ses études à Rome juste après son ordination sacerdotale, à l'Université pontificale grégorienne où il a obtenu une maîtrise de théologie dogmatique.

Prêtre 

Il a été ordonné prêtre le 20 juillet 1976 pour le diocèse d'Autlán au Mexique.

 

De retour de Rome, il a exercé son ministère au petit séminaire puis au grand séminaire de son diocèse.

 

Il a également assumé diverses responsabilités successives à l'échelle du diocèse : consulteur diocésain, président du conseil presbytéral, membre de la commission pour la formation permanente du clergé et de la commission diocésaine pour la doctrine de la foi et vicaire général de 1985 à 1991.

Évêque

Nommé évêque auxiliaire de Toluca le 30 avril 1991, il a été consacré le 5 juin suivant.

 

C'est à ce titre qu'il a été vice-président du synode diocésain en 1991.

 

Le 15 octobre 1995, à la mort de Mgr Alfredo Torres Romero, il a été nommé administrateur diocésain du diocèse avant d'en devenir évêque titulaire le 15 juin 1996.

 

A ce titre, il a participé à l'Assemblée spéciale du Synode des évêques pour l'Amérique qui s'est tenue au Vatican en décembre 1997.

 

Au sein de la conférence épiscopale mexicaine, il a été président du département de pastorale des sanctuaires et président de la commission pour l'éducation et la culture.

 

Il est archevêque de Monterrey depuis le 25 janvier 2003.

Cardinal 
Berretta cardinalizia.png

Il a été créé cardinal par le pape Benoît XVI lors du consistoire du 24 novembre 2007 avec le titre de cardinal-prêtre de S. Maria della Presentazione.

 

Le 12 juin 2008, il est nommé membre du Commission pontificale pour l'Amérique latine.





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2 mars 2015 1 02 /03 /mars /2015 00:00

Alain Paul Charles Lebeaupin

 né le 2 mars 1945 à Paris

 évêque catholique français, archevêque in partibus de Vico Equense

nonce apostolique
 nonce apostolique (ambassadeur du Saint-Siège) pour le Kenya.

Années de formation 

Il est ordonné prêtre le 28 juin 1975 pour le diocèse de Nice après des études au séminaire pontifical français à Rome.

 

Il obtient un doctorat en droit civil et des masters en droit canon et en théologie.

Activité diplomatique 

Alain Paul Lebeaupin entre à la mission diplomatique du Saint-Siège en 1979.

 

Il travaille à la mission d’observation du Saint-Siège des Nations unies à New York (1979 – 1982) puis, à la nonciature apostolique de la République dominicaine (1982 – 1985) et à la délégation apostolique au Mozambique (1985 – 1989)


Il est appelé à la secrétairerie d'État et est membre de l’Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE) de 1989 à 1998.

 

Le 27 mars 1996, il est également chargé d’affaires à la nonciature apostolique de l’Union européenne.


Le 7 décembre 1988, Alain Paul Lebeaupin est élevé à la dignité d'archevêque, avec le titre in partibus de Vico Equense, et est nommé nonce apostolique en Équateur.

 

Il reçoit l’ordination épiscopale du pape Jean-Paul II le 6 janvier 1999.


Le 14 janvier 2005, il est transféré à la nonciature apostolique au Kenya et devient également observateur permanent au Programme des Nations unies pour l'environnement (PNUE) ainsi qu'au Programme des Nations unies pour les établissements humains (UN–HABITAT)

 

Il arrive au Kenya le 28 avril 2005.

Généalogie épiscopale et succession apostolique 


Précédé de :
Jean-François Mathieu Arrighi
Archevêque de Vico Equense
6 janvier 1999Aujourd'hui
Suivi de :
------
Précédé de :
Francesco Canalini
Nonce apostolique pour l'Équateur
7 décembre 199814 janvier 2005
Suivi de :
Giacomo Guido Ottonello
Précédé de :
Giovanni Tonucci
Nonce apostolique pour le Kenya
14 janvier 2005Aujourd'hui
Suivi de :
-------
Précédé de :
Giovanni Tonucci
Observervateur permanent pour
l'UNEP et l'UN–HABITAT

14 janvier 2005Aujourd'hui
Suivi de :
-------
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2 mars 2015 1 02 /03 /mars /2015 00:00
 Blason de Bernard Agré
Bernard Agré
http://www.sotodelamarina.com/Noticias200910/ArchivosIncrustados2/cardinalagre.jpg

né le 2 mars 1926 à Monga en Côte d'Ivoire

 cardinal ivoirien, archevêque émérite d'Abidjan depuis 2006.


Biographie 

Jeunesse

Né à Monga, dans le diocèse d'Abidjan, Bernard Agré est baptisé à six ans à Menni, sa ville d'origine où il reçoit son instruction primaire de 1936 à 1941

 

Il continue sa scolarité au petit séminaire de Bingerville de 1941 à 1947 avant d'entrer au grand séminaire de la même ville pour ses études de philosophie de 1947 à 1948

 

Il part ensuite à Ouidah au Dahomey (actuel Bénin) où il suit des études de théologie de 1948 à 1953.

Prêtre 

Après avoir été ordonné prêtre, le 20 juillet 1953, il devient vicaire à Dabou pendant trois ans.

 

Il enseigne en même temps, et devient en 1956 recteur du pré-séminaire de Bingerville.

 

Il interrompt son ministère de 1957 à 1960 pour étudier le droit canonique et la théologie à l'université pontificale urbanienne à Rome, où il obtient un doctorat.

 

De retour dans le diocèse d'Abidjan, il est successivement curé de la paroisse Notre-Dame de Treichville de 1960 à 1962, puis vicaire général en charge de l'éducation et des séminaires.

Évêque 

Nommé évêque de Man le 8 juin 1968, il a été consacré le 3 octobre suivant par le cardinal Bernard Yago.


Il préside la conférence épiscopale régionale d'Afrique occidentale (CERAO) de 1985 à 1991.


Le 6 juin 1992, il est nommé évêque de Yamoussoukro dont il devient le premier évêque.

 

Cette nouvelle capitale administrative abrite une grande basilique que le pape Jean-Paul II vient de consacrer


Le 19 décembre 1994, il est nommé archevêque d'Abidjan.

 

Il démissionne de cette charge à 80 ans, le 2 mai 2006.

Cardinal
http://eucharistiemisericor.free.fr/images/agre.jpg

Il a été créé cardinal par Jean-Paul II lors du consistoire du 21 février 2001 avec le titre de cardinal-prêtre de S. Giovanni Crisostomo a Monte Sacro Alto.




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2 mars 2015 1 02 /03 /mars /2015 00:00

Blason de James Robert Knox

James Robert Knox
http://upload.wikimedia.org/wikipedia/en/e/e5/Dr._Cardinal_James_Knox.jpg


né le 2 mars 1914 à Bayswater en Australie

 mort le 26 juin 1983

cardinal australien de la curie romaine.

Biographie 

Prêtre 

Après avoir suivi ses études au séminaire de New Norcia puis à l'Université pontificale urbanienne à Rome, James Robert Knox est ordonné prêtre le 22 décembre 1941 pour le diocèse de Barcelone par le cardinal Pietro Fumasoni Biondi.

Pendant huit ans, il travaille à l'Université "Propaganda Fide". Il entre en 1948 à la curie romaine où il travaille pour la secrétairerie d'État et pour Radio Vatican avant de devenir secrétaire du délégué apostolique au Japon de 1950 à 1953.

Évêque 

Nommé délégué apostolique pour l'Afrique britannique, en résidence à Mombasa, avec le titre d'archevêque in partibus de Melitene le 20 juillet 1953, il est consacré le 8 novembre 1953 par le cardinal Celso Costantini.

Il est ensuite nommé internonce apostolique en Inde le 14 février 1957 avant de retourner en Australie le 13 avril 1967 comme archevêque de Melbourne.

Cardinal
Berretta cardinalizia.png

Il est créé cardinal par le pape Paul VI lors du consistoire du 5 mars 1973, avec le titre de cardinal-prêtre de S. Maria in Vallicella.

Le 1er août 1975 il est rappelé à Rome pour être préfet de la Congrégation pour le culte divin et la discipline des sacrements puis président du Conseil pontifical pour la famille le 4 août 1981.

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2 mars 2015 1 02 /03 /mars /2015 00:00

Armoiries pontificales de Pie XII


{{{légende}}}


 Eugenio Pacelli

 futur pape italien Pie XII

Eugenio Maria Giuseppe Giovanni Pacelli

(Rome, 2 mars 1876Castel Gandolfo, 9 octobre 1958)

 élu pape le 2 mars 1939 sous le nom de Pie XII

(en latin Pius XII, en italien Pio XII).
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2 mars 2015 1 02 /03 /mars /2015 00:00

Armoiries pontificales de Adrien VI


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 Adrien VI

218e pape

Adriaan Florensz
(Adrien Florent ou Adriaan Floriszoon)

 2 mars 1459, Utrecht, Pays-Bas
 14 septembre 1523, Rome, Italie

 pape du 9 janvier 1522 au 14 septembre 1523 sous le nom d'Adrien VI
(en latin Hadrianus VI, en italien Adriano VI)

 unique pape originaire des Pays-Bas
 (alors relevant du Saint-Empire romain germanique et donc considéré dernier pape allemand avant Benoît XVI)
et dernier pape non-italien avant l’élection de Jean-Paul II en 1978.

Jeunesse 

D’origine très modeste, Adrien perdit son père, un menuisier de profession d'origine allemande, alors qu’il était encore très jeune. Il semble qu’il fut alors confié par sa mère à un groupe de ‘Frères de la vie commune’ qui lui donnèrent une bonne formation de base, spirituelle (la ‘Devotio moderna’) et intellectuelle. À 17 ans, Adrien entrait comme étudiant à l’université de Louvain.

À Louvain : théologien, professeur et recteur 

Par vocation et compétence, Adrien est d’abord un théologien et professeur de théologie. Il passa la plus grande partie de sa vie à l’Université de Louvain, d’abord comme étudiant et ensuite comme enseignant. Il parcourut toute l’échelle des honneurs académiques. De professeur, il devint recteur en 1493, doyen de l’église Saint Pierre en 1497, de nouveau recteur de l’université en 1501 et chancelier de l’université jusqu’en 1507. Il nous a laissé un commentaire du livre des Sentences de Pierre Lombard et des quodlibet sur des questions théologiques alors débattues. Comme théologien, il se montre solide, orthodoxe mais sans originalité. Adrien était déjà respecté comme homme de Dieu et homme d’études. Il fut également chanoine au chapitre d'Anderlecht.

Précepteur de Charles-Quint [modifier]

En 1507, il est nommé précepteur de l’archiduc Charles d’Autriche, futur empereur Charles Quint, d’abord à Gand (où se trouvait la cour des Pays-Bas bourguignons) et ensuite en Espagne, où Charles-Quint, qui l’estime beaucoup, l’emmène comme principal conseiller lors de son accession sur le trône de Castille (1516). Adrien y est fait archevêque de Tortosa et inquisiteur du royaume, et peu après, Charles-Quint lui obtient le titre de Cardinal, avec siège à Utrecht (1517). Il ne semble pas cependant que Adrien soit jamais retourné dans sa ville natale. Jouissant de toute la confiance de l’empereur, Adrien était également vice-roi durant les absences de Charles-Quint. L’austère flamand au caractère calme et réfléchi était détesté à la cour d’Espagne, en partie parce qu’il s’y était entouré d’hommes de son pays.

Conclave de 1522 

Le conclave chargé d’élire un successeur à Léon X était une fois de plus divisé en partis intransigeants. La solution fut trouvée en l’élection d’un quasi inconnu, absent du conclave : Adrien Florensz, cardinal d’Utrecht (9 janvier 1522). Un chroniqueur contemporain commenta l’élection ainsi : «Conformément à la décision de Dieu, les cardinaux, jusque là désunis, ont élus contre leur propre gré Adrien de Tortose qui n’était pas présent au conclave. C’est un homme tout simple, qui ne s’est distingué jusqu’ici que par la crainte de Dieu ; à Louvain il ne vivait que de science». Et encore : «À la nouvelle de son élection, il n’a donné aucun signe de joie, mais a soupiré profondément»[1] Le soutien de l’empereur Charles-Quint contribua certainement à son élection. Mais à Rome c’était la consternation. Adrien n’y était pas connu, mais, venant du nord de l’Europe c’était sans nul doute un ‘barbare’, un ennemi, un homme de l’empereur. Le fait qu'il n'était pas italien fut très mal accepté et les cardinaux regrettèrent vite leur choix. Il surprit également en gardant son nom de baptême : il s’appellera Adrien VI.

Un pontificat court et difficile 

  • Pour des raisons politiques diverses, consistant surtout à éviter les invitations pressantes et intéressées des rois de France et d’Angleterre, Adrien mit six mois pour passer d’Espagne à Rome. Il marqua même immédiatement son indépendance vis-à-vis de son ancien élève : pas plus que les souverains de France et d’Angleterre il n’accepte de rencontrer Charles Quint avant de quitter l’Espagne. Le 23 août 1522, il débarque à Livourne, en route pour Rome.
  • Son style de vie, simple, pieux et austère, impressionne d’abord le peuple romain. Il réduit le nombre de ses serviteurs à quatre (de 100 qu’avait son prédécesseur). Il évite les banquets et se contente d’un plat de viande à sa table. Il se lève la nuit pour réciter l’office divin et se relevait à l’aube pour célébrer la messe. Il interdit le port d’armes dans la ville et en expulse les femmes de mauvaise vie. Au lieu de poètes et de bouffons, il s’entoure de pauvres et de malades. L’édification augmente en même temps que l’inquiétude : il est un reproche vivant pour beaucoup.
  • Adrien, un théologien classique, est cependant intransigeant sur les questions de doctrine. Luther doit être puni pour ses hérésies et interdit d’enseignement (comme décidé à Worms en 1521). Par ailleurs il est le tout premier pape à reconnaître que les sources de l’hérésie et de l’attraction qu’elle suscite sont à trouver dans le désordre même de la curie romaine et le comportement déréglé de nombreux prélats de l’Eglise. Lors de son premier consistoire, cinq jours après son arrivée à Rome (1 septembre 1522), il est brutal dans son constat : il faut commencer la réforme par Rome même. Adrien s’attaque vigoureusement aux abus (simonie, cumul des bénéfices, etc.), mais il le fait à coups de décrets et ordonnances sans s’entourer suffisamment de soutiens efficaces. Il ne fait rien pour se concilier les sympathies. Même les cardinaux favorables à la réforme de la curie romaine se tournent contre lui : «Il manque d’égards pour le Sacré Collège».
  • Adrien, de plus, ne possède en rien les manières élégantes si prisées à Rome. Il ne cherche d’ailleurs pas à être romain. Il mésestime les chefs d’œuvre présents dans son palais et commence à les distribuer en cadeaux. Aucun intérêt pour les arts et la littérature (dont ses prédécesseurs étaient les grands mécènes). Aux yeux de la noblesse romaine, des artistes et de l’intelligentsia en général, Adrien reste un ‘barbare inculte’, un 'buveur de bière'. Très rapidement, ce sera le déchaînement contre lui, d’autant plus qu’après avoir limogé les fonctionnaires corrompus de son administration, il s’entoure d’hommes nouveaux, étrangers à Rome et inexpérimentés. Personnellement intègre, il interdit aux membres de sa famille de venir à Rome pour y chercher près de lui faveurs et bénéfices.
  • Politiquement, ce n’est pas un succès non plus. Ses tentatives faites pour unir les grandes nations chrétiennes d’Europe contre Soliman et les Turcs qui viennent de prendre Belgrade (1521) et menacent la Hongrie et Rhodes, n’aboutissent à rien. Adrien n’a pas l’étoffe d’un chef d’État : les erreurs diplomatiques sont nombreuses. Lorsque, après la chute de Rhodes en 1522 il tente d’imposer une trêve entre les nations chrétiennes (avec menace d’excommunication à la clé) pour faire face au péril turc, il provoque la colère de François Ier qui envahit la Lombardie forçant Adrien à chercher une alliance qu’il ne désirait pas avec les autres souverains.

Evaluation

Ce qui frappe en Adrien VI c’est sa grande dignité et le sens du devoir. Il n’a pas souhaité être pape mais n’a pas songé à le refuser non plus. Un mois après son arrivée à Rome, une épidémie de peste s'y déclara. Très rapidement cardinaux, ambassadeurs et tous ceux qui le pouvaient quittèrent la ville. Adrien VI refusa de les suivre. Vers la fin de sa vie, il lui arrivait d’exprimer un regret à un ami : «Comme on serait mieux si j’étais encore paisiblement à Louvain !» Il mourut le 14 septembre 1523, dans l’indifférence, sinon l'hostilité, générale. Pour la réforme de l’Eglise en tout cas, ce fut une occasion manquée. Les bonnes intentions ne suffisent pas.

Bibliographie 

  • LECLERCQ, Jacques: Saints de Belgique, Bruxelles, 1942.
  1. Citations tirées de "Ludwig von Pastor: Histoire de papes depuis la fin du Moyen-Age, vol.IX, Paris, 1913, ch. 1 et 2)"
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