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6 mars 2015 5 06 /03 /mars /2015 00:00

Henri Benoît Stuart

 Hendrik Benedictus Stuart

 cardinal britannique prétendant au trône

Henri Benoît Marie Clément Thomas François-Xavier Stuart

(Henry Benedict Maria Clement Thomas Francis Xavier Stuart)

 né le 6 mars 1725 à Rome

 mort le 13 juillet 1807

 prétendant jacobite aux trônes d’Angleterre, d’Écosse et d’Irlande, et cardinal-duc d'York

 deuxième fils de Jacques François Stuart et de Clémentine Sobieska, petite-fille du roi de Pologne Jean III Sobieski.

Les jacobites, ses partisans, l'ont proclamé à partir de 1788 « Henri IX, roi d'Angleterre, d'Écosse, de France et d'Irlande », mais il était plus couramment nommé le « cardinal-duc d’York »

Biographie 

Jeunesse 

Henri Benoît jeune


Né à Rome, Henri Stuart part pour la France en 1745 afin d’aider son frère, le prince Charles Édouard Stuart, à mener la campagne militaire des jacobites pour reprendre les trônes d'Angleterre et d'Écosse. Après leur défaite, il retourne en Italie.


En 1784, lorsque son frère, Charles Édouard, tombe gravement malade, Henri Stuart affirme vouloir conserver son titre de « cardinal-duc d'York », même s’il devenait roi.

 

À la mort de son frère, le 31 janvier 1788, le cardinal Stuart se considère lui-même comme le roi Henri IX d'Angleterre et Henri Ier d'Écosse.

 

Il est le dernier descendant en ligne directe masculine du roi d'Angleterre Jacques II Stuart, et le dernier prince à prétendre publiquement aux trônes de Grande-Bretagne.


Malgré ces prétentions publiques au trône, Henri Stuart est un homme paisible, soucieux de ses devoirs, hôte généreux et apprécié de ses nombreux visiteurs à Rome, anglais ou écossais, catholiques ou protestants.


Le 3 juillet 1747, le pape Benoît XIV le crée cardinal, et il est ordonné prêtre 19 novembre 1758 par le pape Clément XIII.

 

En 1761, il est nommé cardinal-évêque au titre suburbicaire de Frascati (rattaché à la cathédrale San Pietro), près de Rome, où il vit et travaille consciencieusement pendant de nombreuses années : il se rend chaque après-midi en carrosse à Rome, où sa fonction de vice-chancelier s’exerce au Palais de la Chancellerie.

Dernières années

Pendant la Révolution française, Henri Stuart perd ses bénéfices en France, notamment l'abbaye d'Anchin, dont il était le 6e commendataire, déclarée bien national par le décret du 28 octobre 1790.

 

Il sacrifie de nombreuses richesses pour venir en aide au pape.

 

Il est même réduit à la pauvreté par la confiscation de ses propriétés de Frascati par les Français.

 

Il s’embarque alors pour Padoue, puis pour Venise, pour le conclave de 1800, qui élit le pape Pie VII.


L’ambassadeur britannique à Venise négocie alors le versement au cardinal Stuart d’une rente annuelle de 4000 livres, de la part du roi Georges III.

 

La maison de Hanovre présente ce geste comme un acte de charité, mais Henri Stuart, comme ses partisans, n’y voient qu’une première restitution de l’héritage qui lui est légalement dû.

 

En fait, pendant de nombreuses années, le gouvernement britannique avait promis de lui rendre la dot de sa grand-mère, Marie de Modène, mais ne s’était jamais effectué.


Henri retourne ensuite à Frascati, et, en septembre 1803, devient doyen du Collège des cardinaux et ainsi cardinal-évêque d'Ostie et Velletri, tout en continuant à résider à Frascati.

 

Il y meurt le 13 juillet 1807. La durée de son cardinalat, plus de soixante ans, est l’une des plus longues de l’histoire de l’Église catholique.


D'après son testament, qu’il signe « Henry R », ses prétentions à la couronne britannique passent à son plus proche parent, Charles-Emmanuel IV de Sardaigne, un catholique.


Henri Stuart, ainsi que ses frère et père, sont enterrés dans la crypte de la basilique Saint-Pierre de Rome.

 

Le monument des Stuart, œuvre du sculpteur Antonio Canova, orne l'un des piliers de la basilique.

 

Ce monument a été restauré aux frais de la reine-mère d'Élisabeth II, Elizabeth Bowes-Lyon.


En 1938, lorsqu’on a déplacé les corps, un nouveau sarcophage a été utilisé.

 

On affirme en général qu’il a été offert par le roi George VI.

Sources 

Histoire de l'Angleterre

Histoire de l'Écosse

Jacobites
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6 mars 2015 5 06 /03 /mars /2015 00:00

http://www.pontificioistitutompf.it/Upload/Barbarigo_1.JPG
 cardinal italien


Né le  6 Mars 1640 à
Venise

 26 Mai 1706 à l'âge de 66 ans à  Montefiascone

 évêque catholique italien et cardinal.

Biographie


Né à Venise 6 Mars 1640.

Le pape Innocent XI l'a élevé au rang de cardinal lors du consistoire du 2 Septembre, 1686.

Evêque de Montefiascone, a travaillé avec la sœur Rosa Venerini la diffusion de sa congrégation, et il est considéré, avec Lucia Filippini, fondateur de l'Institut des enseignants religieux.

Dati riportati su www.catholic-hierarchy.org alla pagina [1]


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6 mars 2015 5 06 /03 /mars /2015 00:00

Armoiries pontificales de Nicolas V



 Consécration du pape Nicolas V


Né Tommaso Parentucelli à Sarzana vers 1398, pape du 6 mars 1447 à 1455.
Il mit fin au schisme de l’antipape Félix V et il fonda la Bibliothèque vaticane.
Libre de tout népotisme, il était de petite taille et de faible constitution physique.

Son regard perçant n'engendrait pas l'obéissance; il était bien davantage un homme de lettres qu'un homme d'action.

Sa grande générosité, son goût pour l'art et ses choix politiques difficiles lui valent néanmoins d'être considéré comme l'un des papes les plus brillants.

Pontificat 

Devenu le pape Nicolas V, il met en place à Rome de nouveaux équilibres politiques et internationaux.

 

Constructeur de fortifications et restaurateur d'églises, il commence son pontificat en embellissant la grande ville (il commencera la construction du Palais du Vatican voulant en faire le plus grand palais du monde), et en invitant les peintres, les architectes et avant tout les écrivains.

 

Reconnu comme seul véritable souverain pontife (1449), il stabilise ses rapports avec le Royaume de Naples, et garde une position de neutralité en Italie, jusqu’à la paix de Lodi (1454)

 

Dans ses états, il accorde aux dirigeants municipaux un certain nombre de privilèges tout en gardant fermement le contrôle de la commune.

 

Surnommé le « pape humaniste », il a à sa cour Lorenzo Valla en tant que notaire apostolique.

 

Les œuvres d'Hérodote, Thucydide, Polybe sont réintroduites en Europe occidentale grâce à son patronage.

 

Blessé par les dommages faits à la culture grecque, il tente sans succès de lancer une croisade pour délivrer les Byzantins de l'emprise turque.

 

Pour cela, il remet sur pied une armée efficace et augmente les rentrées fiscales.

 

Voulant assurer la réussite de la réforme catholique, il envoie plusieurs légats, dont Nicolas de Cues, Jean de Capistran et Guillaume d'Estouteville, au nord et au sud de l'Allemagne, en Angleterre, et en France.

 

Ayant entrepris la réhabilitation de Jeanne d'Arc, son autorité voit le couronnement de Frédéric III du Saint-Empire.

 

Par la bulle Romanus Pontifex, il se pose en arbitre des empires espagnols et portugais et assure la portée universelle de l'autorité du pontife, y compris dans la christianisation des peuples indigènes et musulmans.

Félix V faisant allégeance à Nicolas V, par Martial d'Auvergne

enluminure issue de l'ouvrage Vigiles de Charles VII, Paris, France, XVe siècle.



Dans cette même bulle, il donne au Roi du Portugal l'autorisation pour la traite des Noirs.

 

Le nom de Nicolas V est pour cette raison souvent lié à l'esclavage.

 

L'historien contemporain Norman Cantor a accusé le pape de complaisance envers les traiteurs portugais ; il fut néanmoins le continuateur d'Eugène IV, auteur de la bulle Sicut Dudum qui interdisait clairement la possession d'hommes.

 

Paul III écrira plus tard Sublimus Dei pour réaffirmer cette prise de position.

 

La fin de son pontificat est cependant marquée par l'anxiété, car Stefano Porcaro, homme politique cultivé et favori du défunt pape Martin V, tente à plusieurs reprises d'instituer une république à Rome.

 

Malade, il rassemble autour de lui les cardinaux et résume les labeurs qui avaient guidé sa vie et son pontificat, avant de mourir le 25 mars 1455 âgé d'environ 57 ans.

 

À Rome, élection du cardinal-prêtre de Saint-Suzanne Tommaso Parentucelli pour succéder à Eugène IV, décédé le 23 février précédent.
Il prit le nom de Nicolas V et son pontificat marqua le triomphe de l’humanisme dans la cour papale.
Grâce à lui et à sa légion de « chasseurs des livres », beaucoup de trésors de la litté rature classique furent préservés.
Sa riche collection de codes fut le noyau de la Bibliothèque Apostolique Vaticane, fondée plus tard par Sixte IV.
Il fut aussi le protecteur des peintres tels que Fra Angelico, qu’il commanda de décorer une petite chapelle au-dedans du Palais Apostolique (qui prit le nom de Chapelle Nicoline) avec des scènes des vies de saints diacres Étienne et Laurent.
Le peintre portraitura Nicolas V dans le personnage de son prédécesseur Sixte II.
Avec le pape Parentucelli on peut dire aussi que la Renaissance prend son essor dans la capitale de la Chrétienté.

 

 

Précédé par Nicolas V Suivi par
Eugène IV
Emblem of the Papacy SE.svg
Liste des papes
Calixte III
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6 mars 2015 5 06 /03 /mars /2015 00:00
1058
 Confirmation par le pape {{{légende}}} Étienne IX du privilège monétaire de Cluny.

1585
Sainte Giacinta Marescotti, religieuse italienne, proclamée sainte par le pape {{{légende}}} Pie VII en 1807


1642
 Rome


 Le pape condamne l’Augustinus de Jansénius ; mais la bulle ne sera publiée que dans un an, probablement modifiée.


1643
 Rome


Antoine Arnauld vient de publier De la fréquente communion, où il défend l’Augustinus, manuscrit de Cornélius Jansen, combattu par les jésuites, qui en obtinrent la condamnation par l'Inquisition, en 1641, puis par la bulle In EminenteArmoiries pontificales de Urbain VIIId'Urbain VIII, publiée ce jour.

{{{légende}}}

'Urbain VIII

 

 

1799

Maître Titta

 

bourreau italien exécuteur des sentences capitales de l'État pontifical

 

Né le 06 mars 1799

 

  Décédé le  18 juin 1869

 

 

2003

http://www.catholink.ch/files/image/actu-2007/halabardier-garde-suisse.jpg


http://eucharistiemisericor.free.fr/images/050509_garde_suisse.jpg La Garde suisse, armée du Vatican, accueille pour la première fois en son sein un soldat de couleur d'origine indienne, Dhani Bachmann.

 

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5 mars 2015 4 05 /03 /mars /2015 00:00

Blason  

« In The Holiness Of Truth »
« Dans la sainteté de la Vérité »


Image illustrative de l'article Edward Egan

Edward Egan

 

né le 2 avril 1932 à Oak Park aux États-Unis

 

mort le 5 mars 2015 à New York1

 

cardinal américain, archevêque de New York de 2000 à 2009

 

Biographie
Nom de naissance Edward Michael Egan
Naissance 2 avril 1932
à Oak Park (États-Unis)
Ordination sacerdotale 15 décembre 1957 par
Mgr Martin O’Connor
Décès 5 mars 2015 (à 82 ans)
à Manhattan (New York, États-Unis)
Cardinal de l’Église catholique
Créé
cardinal
21 février 2001 par le
pape Jean-Paul II
Titre cardinalice Cardinal-prêtre de Ss. Giovanni e Paolo
Évêque de l’Église catholique
Consécration épiscopale 2 mai 1985 par le
card. Bernardin Gantin
Dernier titre ou fonction Archevêque émérite de New York
Archevêque de New York
11 mai 2000 – 23 février 2009
Précédent   John Joseph O'Connor   Timothy Dolan   Suivant
Évêque de Bridgeport (Connecticut)
5 novembre 1988 – 11 mai 2000
Évêque titulaire d'Allegheny
Évêque auxiliaire de New York (États-Unis)
1er avril 1985 – 5 novembre 1988

Biographie

Prêtre

Edward Michael Egan a suivi ses études à Rome et a obtenu une licence de théologie et un doctorat en droit canon à l'Université pontificale grégorienne.

Il est ordonné prêtre le 15 décembre 1957 pour le diocèse de Chicago dans l'Illinois.

Il partage ensuite son ministère entre son engagement paroissial et le secrétariat de l'archevêque de Chicago, le cardinal Albert Meyer.

Il retourne à Rome de 1972 à 1985 comme auditeur au Tribunal de la Rote et enseignant en droit à l'Université pontificale grégorienne et au Studio Rotale.

Évêque

Nommé évêque auxiliaire de New York le 1er avril 1985, il a été consacré le 22 mai suivant par le cardinal Bernardin Gantin.

Le 5 novembre 1988, il est nommé évêque de Bridgeport dans le Connecticut.

Il est nommé archevêque de New-York le 11 mai 2000. Il se retire le 23 février 2009.

Cardinal

Jean-Paul II le crée cardinal lors du consistoire du 21 février 2001 avec le titre de cardinal-prêtre de Santi Giovanni e Paolo.

Il participe au conclave de 2005 qui voit l'élection du pape Benoît XVI.

Le 26 janvier 2008 il est nommé membre de la Congrégation pour les Églises orientales2.

Au sein de la curie romaine, il est membre du Tribunal suprême de la Signature apostolique, du Conseil pontifical pour la famille et de la Commission pontificale pour le patrimoine culturel de l'Église.

Il perd sa qualité d'électeur le jour de ses 80 ans, le 2 avril 2012, ce qui l'empêche de participer au conclave de 2013 qui voit l'élection du pape François.

 

Notes et références

  1. New York Times [archive]
  2. (it) Salle de presse du Saint-Siège, « Rinunce e nomine » [archive], sur press.vatican.va,‎ 26 janvier 2008 (consulté le 7 septembre 2014)

 

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5 mars 2015 4 05 /03 /mars /2015 00:00
Archevêques de Lyon
Raoul de La Roche-Aymon
alias Pins alias Peyrins

(Mainssat ? - 5 mars 1236)
Abbé de Clairvaux (1224)
Evêque d’Agen (1233)
puis Archevêque-Comte de Lyon (1235)
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5 mars 2015 4 05 /03 /mars /2015 00:00
Conclave - 1730

05 Mars 1730 au 12 Juillet 1730

 

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5 mars 2015 4 05 /03 /mars /2015 00:00
Evêques d'Amiens 
Marc-Marie de Bombelles
(Bitche, 8 octobre 1744 - Paris, 5 mars 1822)

Marquis de Bomelles
Maréchal de Camp
Ambassadeur de France au Portugal (1786) en Autriche (1789)
Evêque d'Amiens (1819)

http://www.heraldique.org

 

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5 mars 2015 4 05 /03 /mars /2015 00:00
Evêques de Langres 
Pierre Louis Parisis
(Orléans, 12 août 1795 - Arras, 5 mars 1866)

Evêque de Langres (1834)
puis Evêque d'Arras (1851)
puis Evêque d'Arras, Boulogne et Saint-Omer (1853)

 

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5 mars 2015 4 05 /03 /mars /2015 00:00
Archevêques de Toulouse 
Jean-Louis Berton des Balbes de Crillon
(Avignon, 1684 – Avignon, 5 mars 1751)

Abbé de Charlieu (1745)
Evêque de Saint-Pons (1713)
puis Archevêque de Toulouse (1727)
puis Archevêque de Narbonne (1739)

 

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