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10 mars 2015 2 10 /03 /mars /2015 00:01
1208
 Le pape proclame la croisade contre les Albigeois[2]

Fichier:Cartes Occitanie.png
Le Languedoc (et partie du Royaume d’Aragon) en 1209

La croisade des Albigeois (1208-1249) (ou croisade contre les Albigeois) est une croisade proclamée par l'Église catholique contre l'hérésie, principalement le catharisme et dans une faible mesure le valdéisme. Dès le XIIe siècle, les textes de l'époque parlent d'hérésie albigeoise sans que cette région soit plus cathare que ses voisines.

Le catharisme était surtout implanté en Languedoc, lequel était dominé par deux familles, la maison de Toulouse et la maison Trencavel. N'ayant pas réussi à s'entendre pour faire front, le comte Raymond VI de Toulouse fait amende honorable et se croise, tandis que Raimond-Roger Trencavel se prépare à se défendre contre la croisade. Une fois Béziers et Carcassonne prises et le vicomte Trencavel emprisonné, les croisés désignent l'un des leurs, Simon de Montfort, pour poursuivre la lutte (1209). Cette croisade évolue rapidement en guerre de conquête, d'abord pour le compte de Simon de Montfort, puis après la mort de ce dernier (1218) et l'échec de son fils Amaury, pour le bénéfice de la couronne. Cela n'empêche pas la lutte contre le catharisme, d'abord sous la direction des évêques locaux, puis sous celle de l'Inquisition (à partir de 1233).

Finalement, les vicomtés de Carcassonne, d'Albi et de Béziers sont annexées au domaine royal en 1226 ; le comté de Toulouse passe à Alphonse de Poitiers, un frère de saint Louis en 1249 et est annexé en 1271. Le Languedoc, qui se trouvait au début du XIIIe siècle dans la sphère d'influence du Royaume d'Aragon est entièrement passé à la fin de ce siècle sous celle du roi de France. À cette époque, le catharisme est éradiqué en Languedoc, et seulement quelques cathares ont pu se réfugier en Lombardie.



Monument en mémoire des deux cents cathares brûlés à l'issue du siège de Montségur (16 mars 1244)


Le miracle de Fanjeaux, par Pedro Berruguete


Les habitants de Carcassonne expulsés en 1209


1987
 Le Vatican rappelle l'opposition de la hiérarchie catholique aux manipulations génétiques, en rejetant la procréation artificielle.
Selon l'Église catholique, tout ovule fécondé est déjà un être humain, et la fécondation in vitro entraîne la destruction de plusieurs embryons.


1994

 Réception officielle d'Albert Decourtray (le cardinal Decourtray) (1923-1994) à l'Académie française.

Albert DECOURTRAY (1923-1994)

Élu en 1993 au fauteuil 4

Officier de la Légion d'honneur

Prédécesseur : Jean HAMBURGER

Successeur : Jean-Marie LUSTIGER

Œuvres
Discours et travaux académiques

Homme d'Église
Biographie

Né à Wattignies (Nord), le 9 avril 1923.
Études au petit Séminaire d’Haubourdin et du Grand Séminaire de Lille.
Ordonné prêtre, le 29 juin 1947. Études aux Facultés catholiques de Lille, à l’Université Grégorienne et à l’Institut Biblique de Jérusalem. Vicaire à Halluin, en 1951. Vicaire général et archidiacre à Roubaix-Tourcoing, en 1966. Nommé évêque auxiliaire de Dijon, le 1er juin 1971. Évêque de Dijon, le 24 avril 1974. Archevêque de Lyon, Primat des Gaules, le 5 novembre 1981. Cardinal du titre de la Trinité-des-Monts, le 25 mai 1985. Président de la Conférence des évêques de France de 1987 à 1990.
Élu à l’Académie française, le 1er juillet 1993, au fauteuil du professeur Jean Hamburger (4e) et reçu sous la coupole le 10 mars 1994 par Maurice Schumann.

Mort le 16 septembre 1994.

  ina.fr
Heure de vérité du cardinal Albert DECOURTRAY Présentation par F. H de VIRIEU : Avant de passer la parole aux journalistes, F. H de VIRIEU évoque l'Académie française, qui ...

1997
Chantal Mauduit, alpiniste française, escalade à mains nues la flèche qui domine les tours de Notre Dame et y accroche un drapeau du Tibet pour commémorer les 40 ans du soulèvement du peuple tibétain à Lhassa, le 10 mars 1959.


1997 
Malgré les mises en garde américaines  le Vatican annonce l'ouverture de relations diplomatiques avec la Libye où vivent environ 50 000 catholiques


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10 mars 2015 2 10 /03 /mars /2015 00:00
Archevêques de Toulouse

 


Geoffroi de Vayrols, mort le 10 mars 1376 à Toulouse1 
  1. a et b Ansgar Wildermann, « Vayrols, Geoffroi de [archive] » dans le Dictionnaire historique de la Suisse en ligne.
prélat français du début du XIVe siècle
évêque de Lausanne (1342-1347)
puis de Carpentras (1347-1356)
et de Carcassonne (1358-1361)
et finalement archevêque de Toulouse (1361-1376)

 

Biographie

Geoffroi de Vayrols est un homme issu d'une famille noble de Cahors dans le Quercy.

 

Il est nommé évêque de Lausanne en 1342 par le nouveau pape Clément VI le Magnifique qui voulait ainsi récompenser un de ses fidèles.

 

Dans cet évêché, l'événement principal fut la conclusion d'un accord en 1344 avec le baron de Vaud Louis II de Savoie en tant qu'ami et allié, lui cédant la moitié de son temporel contre son engagement à assurer la défense militaire du domaine ecclésiastique.

 

Dès lors, un bailli commun est nommé et les Lausannois font leur service militaire pour le compte de la baronnie de Vaud2

2. ↑ Francis Aerny, « L'évêché de Lausanne VI siècle -1536 » [archive], page 51, Cabedita, 1991.

 

Il se fait remplacer pour la visite diocésaine de 13461

 


A partir de 1347, il est évêque de Carpentras et se rapproche ainsi du pape qui résidait alors à Avignon.


En 1358, il est évêque de Carcassonne avant sa nomination à l'archevêché de Toulouse en 1361.

 

Son grand vicaire emprisonné par les magistrats de la ville, la ville est mise en interdit en 1368.

 

En 1369 a lieu la translation du corps de Thomas d'Aquin au couvent des dominicains de Toulouse, en présence notamment du duc d'Anjou, oncle du roi.

 

Geoffroi approuve aussi l'établissement d'un couvent de religieuses dominicaines à Toulouse en 1373.

 

Evéques de Carcassonne Geoffroy de Vayrols.jpg
Provenant d'un tombeau situé dans le choeur de la cathédrale Saint-Etienne de Toulouse

ce gisant est celui de Geoffroy de Vayrols
évêque de Carcassonne de 1357 à 1361

et
archevêque de Toulouse de 1361 à 1378.


Il est visible au Musée des Augustins.
Photo:© Daniel Martin
-----------
http://www.augustins.org/

 

 


Geoffroy de Vayrols assista au Concile de Lavaur en 1368


Il fit la même année une fondation considérable dans son église Saint-Etienne de quatre Chapellenies ou Obits qu'on appelle de Vayrols

 

le 3 février 1369, les consuls de Cahors se rebellant contre la domination anglaise imposée par le traité de Brétigny, reconnurent la souveraineté du Roi de France entre les mains de l'archevêque de Toulouse Geoffroy de Vayrols, originaire de la ville


Faisant suite à l'exemple cadurcien, plus de 60 autres localités du haut Quercy firent leur ralliement, tandis que le même phénomène se déroulait en Rouergue, Agenais et Périgord


de Vayrols dans Jean-Baptiste Vidaillet, Biographie des hommes célèbres du département du Lot, ou Galerie historique des personnages mémorables auxquels ce département a donné le jour, page 432, 1827.

http://books.google.fr/books?id=8BKwnTv9PdsC&pg=PA432|Geoffroi#v=onepage&q&f=false

 

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10 mars 2015 2 10 /03 /mars /2015 00:00
Archevêques de Cologne (Köln)
Karl Joseph Schulte

(Valbert, 14 septembre 1871 - Cologne, 10 mars 1941)

Evêque de Paderborn (1909)
puis Archevêque de Cologne (1920)
Cardinal-Prêtre (1921), puis Cardinal des Santi Quattro Coronati (1921)
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10 mars 2015 2 10 /03 /mars /2015 00:00
Archevêques de Tours
Etienne de Bourgueil
( ? - Tours, 10 mars 1334)

Archevêque de Tours (1323)

 

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10 mars 2015 2 10 /03 /mars /2015 00:00
Evêques d'Agde

Fulcran de Barrez


(Pouzolles, 1574 - Pézenas, 10 mars 1643)


Vicaire-Général de Béziers
Evêque-Comte d’Agde (1629

 

 

http://www.heraldique.org

 

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10 mars 2015 2 10 /03 /mars /2015 00:00
Evêques de Namur
Présentation

 

Le Diocèse de Namur/Namen (Dioecesis Namurcensis) a été fondé le 12 mai 1559  en conséquence de la bulle Super universas, qui, dans le cadre de la Contre-Réforme, réorganisa,  redécoupa et érigea les nouveaux diocèses aux Pays-Bas espagnols.


Son territoire est créé par détachement du Diocèse de Liège, lequel demeure suffragant de Cologne, tandis que le nouveau Diocèse de Namur devient suffragant de l'Archidiocèse de Cambrai.


Après la période de troubles liés à la Révolution française, le Concordat de 1801 apporte une nouvelle organisation et le Diocèse de Namur se trouve réduit au seul département de Sambre-et-Meuse et devient suffragant de Malines (Mechelen)

 
De 1823 à 1840, son territoire est augmenté de celui de l'actuel Grand-Duché de Luxembourg.

 

Puis, après la séparation luxembourgeoise, en 1843, un échange de paroisses avec Liège pose, à quelques détails près, qui feront l'objet de rectifications en 1903 et 1977, les actuelles frontières du Diocèse.

Diocèse de Namur
http://www.heraldique.org
Le premier évêque fut nommé par le pape le 10 mars 1561

Liste des évêques de Namur

La première date correspond à la prise de possession et la seconde, au départ ou au décès de l'évêque.

 


Image illustrative de l'article Diocèse de Namur
La Cathédrale Saint-Aubain de Namur

 

Comme l'ensemble des huit diocèses de Belgique, il appartient à la province ecclésiastique de Malines-Bruxelles

 

LA VIE DES DIOCèSES

Mgr Rémy Vancottem - Diocèse de Namur
Diffusé le 16/03/2012 / Durée 26 mn

Dans un diocèse belge qui se voit vieillir, où trouver le dynamisme missionnaire ?

 

Les communautés nouvelles constituent un grand soutien à Namur.

 

Pour manifester son attention aux vocations sacerdotales, l'évêque souhaite entourer les séminaristes en formation, par les acteurs des services de pastorale dont les services déménagent au séminaire qui devient un lieu d'information et de formation diocésaine pour tous.

 

Parmi les actualités locales également, reportage à Beauraing dont le sanctuaire marial va entamer une année jubilaire pour les 80 ans des apparitions de la Vierge Marie.

 

Mgr Rémy Vancottem, l'évêque de Namur, nous fait découvrir les enjeux de la mission dans La Vie des diocèses.

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10 mars 2015 2 10 /03 /mars /2015 00:00

Blason de Bolesław Kominek
 Bolesław Kominek
http://www.pwt.wroc.pl/images/kominek.jpg

né le 23 décembre 1903 à Radlin II, en Pologne

 mort le 10 mars 1974 à Wrocław

 cardinal polonais, archevêque de Wrocław de 1972 à sa mort.

Biographie 

Prêtre 

Bolesław Kominek est ordonné prêtre le 11 septembre 1927 pour le diocèse de Katowice.

Évêque 

Nommé évêque auxiliaire de Wrocław, avec le titre d'évêque in partibus de Sophene le 26 avril 1951, il est consacré le 10 octobre suivant.

 

Le 19 mars 1962, il est élevé au rang d'archevêque in partibus d'Euchaitae.

 

Il devient archevêque de Wrocław le 28 juin 1972.

Cardinal
Berretta cardinalizia.png

Il est créé cardinal par le pape Paul VI lors du consistoire du 5 mars 1973, avec le titre de cardinal-prêtre de S. Croce in via Flaminia.

 

Il meurt un an plus tard, le 10 mars 1974 à l'âge de 70 ans.


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10 mars 2015 2 10 /03 /mars /2015 00:00

Blason de Nicolas-Charles de Saulx-Tavannes

Nicolas de Saulx-Tavannes

Nicolas-Charles de Saulx-Tavannes

 

(Nicolas Charles de Saulx de Tavannes)

 

né le 9 septembre 1690 à Paris

 

mort le 10 mars 1759 à Paris à l'âge de 68 ans

 

 

commandeur de l'Ordre du Saint-Esprit (1748)


Pair de France


Grand Aumônier de France

 

Abbé commendataire de Saint-Etienne de Caen (1745-1759)

 

Évêque-comte de Châlons

 


Archevêque de Rouen (1734-1759)


cardinal en juin 1756

 

 

 

Parents
 

Appelé le cardinal de Tavannes. 

 il fut d'abord nommé évêque-comte de Châlons le 11 janvier 1721

sacré le 9 novembre suivant

reçu au parlement comme pair le 4 décembre

 nommé premier aumônier de la reine en 1725

a été transféré à Rouen en 1733, avec le même brevet que l'archevêque de Cambrai, pour la conservation des honneurs de la pairie

 fait grand aumônier de la Reine après le feu cardinal de Fleury en janvier 1743

 a été reçu prélat commandeur de l'ordre le 1er janvier 1748

 cardinal en juin 1756, grand aumônier de France.

Biographie

Docteur de l'université de la Sorbonne (dont il devient proviseur), il est ordonné évêque-comte de Châlons-en-Champagne et donc pair de France en 1721, puis archevêque de Rouen en 1733.

 

Il est chapelain de la reine Marie Leszczyńska en 1737.

 

En 1745, il est nommé abbé commendataire de Saint-Étienne de Caen.

 

En 1748, Louis XV le nomme commandeur de l'Ordre du Saint-Esprit et grand aumônier de France.

 

Berretta cardinalizia.pngIl est créé cardinal par Benoît XIV lors de son dernier consistoire en 1756, mais ne reçoit jamais le chapeau et ne participe pas au conclave de 1758.



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10 mars 2015 2 10 /03 /mars /2015 00:00
1118

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Consécration du pape Gélase II

Gélase II (Giovanni Coniulo ou Giovanni de Gaète), né vers 1060 à Gaète, dans le Latium, était un religieux italien du Moyen Âge, qui fut le 161e pape de l'Église catholique, pendant une année, du 24 janvier 1118 au 28 janvier 1119.

Biographie

Né dans une famille aisée, il est élevé à l'abbaye du Mont-Cassin, puis entre en 1088 au service d'Urbain II.

La même année, il est ordonné diacre.

Peu de temps après, Urbain II le nomme cardinal-diacre de Santa Maria in Cosmedin et chef de la chancellerie pontificale.

Après la mort d'Urbain II, il se range aux côtés de Pascal II face à l'antipape Clément III.

Il partage sa captivité en 1111, puis le soutient lors du synode du Latran de 1116.

 

Deux jours après la mort de Pascal II, le 24 janvier 1118, Giovanni Coniulo est élu à Rome sous le nom de Gélase II.

Il est aussitôt capturé par le clan Frangipani, puis libéré par la foule menée par le préfet urbain et le clan Pierleoni.

Les troubles empêchent néanmoins sa consécration et il doit quitter Rome au début du mois de mars, poursuivi par les troupes de l'empereur Henri V, lequel exige que la consécration se fasse en sa présence. Face au refus de Gélase II, Henri V suscite l'antipape Grégoire VIII. Gélase II, réfugié dans sa ville natale, se fait ordonner prêtre, puis évêque. Au mois d'avril, il excommunie l'antipape et Henri V.

 

Il revient à Rome au début de juillet 1118, après le départ d'Henri V, pour trouver la ville aux mains des Frangipani, qui soutiennent Grégoire VIII. Il doit de nouveau fuir et cherche protection en France auprès de Louis VI le Gros. Alors qu'il se dirige vers Vézelay pour rencontrer le roi, il tombe malade et meurt à l'abbaye de Cluny, où il est enterré.

Selon la tradition, il aurait recommandé sur son lit de mort le cardinal Conon de Préneste, légat en Allemagne puis, devant le refus de ce dernier, celui qui devait devenir Calixte II. Sa tombe est profanée durant la Révolution française

Bibliographie 

  • Georg Schwaiger, « Gélase II », Philippe Levillain (dir.), Dictionnaire historique de la papauté, Fayard, Paris, 2003 (ISBN 2-213-618577) , p. 723-725.

 

Précédé par Gélase II Suivi par
Pascal II
Emblem of the Papacy SE.svg
Liste des papes
Calixte II
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10 mars 2015 2 10 /03 /mars /2015 00:00

Saint Simplice

Immagine di papa Simplicio

 

(en latin : Simplicius), originaire de la région de Tivoli

 

pape du 3 mars 468 au 10 mars 483

 

Simplice fut élu pape à une période d'incessantes invasions barbares qui n'épargnèrent que le Vatican.

 

C'est en 476, sous son pontificat, que survint la chute de l'Empire romain, avec Romulus Augustule.

 

Le schisme qui s'ensuivit conduisit à la fondation de nouvelles Églises en Orient.

 

Mais pour les mêmes raisons, son importance et son influence s'accrurent en Occident.

 

Il passa la plus grande partie de ses 15 années de pontificat à combattre le monophysisme.

 

Avec l'aide de l'empereur Zénon, il fit reconnaitre l'autorité du concile de Chalcédoine et rétablir sur le siège d'Alexandrie et sur celui d'Antioche les évêques catholiques qui en avaient été chassés par les eutychiens en 451.

 

Simplicius réorganisa le patrimoine de l'Église, réglant notamment la distribution des offrandes aux pauvres.

 

Il envoya un peu partout des prêtres pour combattre l'hérésie arienne.

 

Durant sa longue agonie, il confia l'évêché de Rome et l'Église au préfet du prétoire Caecina Decius Maximus Basilius le Jeune.

 

Celui-ci profita de sa position et de l'effondrement de l'Empire pour placer l'Église de Rome sous le contrôle du Sénat.

 

À sa mort, Simplice sera inhumé dans l'ancienne basilique Saint-Pierre.

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Livre d'Or

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